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Cet article est une petite merveille de « comment faire passe une information bidon pour un résultat scientifique ».

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« Une équipe de l’INSERM suggère… ah bon ! Maintenant il suffit de suggérer. Ne pensez-vous pas que s’ils avaient de vraies données ils se contenteraient de « suggérer » ? Ils affirmeraient haut et fort, mais non, ils suggèrent.
Tout est du même tenant. Ils ont confronté 13 études parues entre 2000 et 2009 et portant sur des dizaines de milliers de patients… ah oui ! quelles études ? Quels sont les résultats ? De cela pas un mot et ils voudraient que nous les croyons.
Par contre le fait que 1% de la population soit concerné par un nouveau médicament qui doit être déjà fabriqué et qui n’attend que de sortir ça je pense franchement que c’est vrai.
Voilà comment les psychiatres aident les fabricants pharmaceutiques à boucher le trou financier que le retrait mérité de produits dangereux leur ont causés.
Messieurs, si vous avez plus de 35 ans faites un nœud à votre sexe sinon vous allez engendrer des schizophrènes et si cela n’était pas suffisant je suis sûr qu’ils pourraient descendre l’âge fatidique à 30 ans… ou 25 pourquoi pas !

J’oubliais le meilleur. En fin de page nous apprenons que « Les chercheurs du Pôle de Psychiatrie du Groupe Hospitalier Chenevier-Mondor, Inserm unité 955″ pensent que… wouhaaaa! ça c’est de la recherche ou je ne m’y connais pas.

Ils nous prennent vraiment pour des idiots ces gens-là !

Le Webmaster

Une équipe de l’Inserm* suggère que le risque d’être atteint de schizophrénie augmenterait en fonction de l’âge du père au moment de la conception.

Avoir un père âgé de plus de 35 ans au moment de la conception augmenterait les risques d’être atteint de schizophrénie. C’est l’Inserm qui vient de publier ce résultat dans la revue spécialisée L’Encéphale après avoir confronté 13 études parues entre 2000 et 2009 et portant sur des dizaines de milliers de patients. Le professeur Franck Schürhoff de l’Inserm affirme que toutes les études analysées confirment que l’âge du père au moment de la procréation influe sur le risque pour l’enfant d’être atteint de trouble mental et notamment de schizophrénie. « À partir de 35 ans, le risque est multiplié par deux, puis augmente de façon linéaire avec l’âge. Au-delà de 50 ans, il est multiplié par quatre ». La schizophrénie apparaît généralement entre 15 et 25 ans. Elle concerne 1% de la population et se traduit par des idées délirantes, une dislocation de la vie psychique, une perte de contact avec la réalité, des troubles affectifs, des pensées incohérentes et un retrait social.

Une implication masculine

Ce résultat serait propre à l’âge du père et ne se retrouverait pas chez les mères. Les chercheurs du Pôle de Psychiatrie du Groupe Hospitalier Chenevier-Mondor, Inserm unité 955, pensent que « l’apparition de mutations au moment de la spermatogenèse paraît la plus crédible. À 20 ans, les spermatogonies, précurseurs des spermatozoïdes ont subi 200 divisions chez l’homme et 600 à 40 ans. En comparaison, les cellules germinales des femmes ne subissent que 24 divisions pendant la vie fœtale. » Voilà qui expliquerait pourquoi les femmes n’auraient pas cette influence. L’équipe du Pr Schürhoff souhaite à présent étudier l’évolution des cas de schizophrénies ayant des pères âgés



12/08/2011
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