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Les tragiques dérives de la protection de l’enfance

Les tragiques dérives de la protection de l’enfance

L’Association d’entraide des usagers de l’administration (ADUA) vient de dénoncer la maltraitance d’enfants à la charge de l’assistance publique. Sur 40 départements, près de 8 000 travailleurs sociaux sont absents du fichier ADELI, chargé de contrôler leurs diplômes et obligations.

L’Association d’entraide des usagers de l’administration (ADUA) vient de dénoncer la maltraitance d’enfants à la charge de l’assistance publique. Sur 40 départements, près de 8 000 travailleurs sociaux sont absents du fichier ADELI, chargé de contrôler leurs diplômes et obligations.

Dérives, faux en écriture publique et des milliers de travailleurs sociaux en infraction… dans la protection de l’enfance ! C’est le constat que fait Laurence Brunet-Jambu, membre de l’Association d’entraide des usagers de l’administration (ADUA). Un manifeste, adressé à François Hollande, AVEC COPIE DES PREUVES, pointe les placements abusifs et la maltraitance d’enfants.

De nombreuses associations s’attaquent à l’ensemble des institutions chargées de la protection de l’enfance, de la justice aux travailleurs sociaux en passant par les collectivités territoriales, etc. Elles mettent largement en cause le système judiciaire.

Au nom de l’indépendance de la justice, « certains magistrats oublient ou violent délibérément la loi » observe Laurence Brunet-Jambu. Toutes ces associations connaissent l’existence de nombreux faux en écriture publique émanant d’assistantes sociales et validés par le juge en parfaite connaissance de cause. Quand les parents portent plainte, elles sont classées sans suite par le procureur…  On ne classe pas aussi facilement des conduites sans permis !

Certains juges «  improvisent eux-mêmes des diagnostics psychiatriques, écartent ou détruisent des pièces capitales du dossier » constate Laurence Brunet. Pire, quand l’avis de l’enfant est contraire aux convictions du juge, le magistrat le considère manipulé. Le juge peut aussi interdire le choix de l’avocat de l’enfant et en imposer un qui lui convient.

Pour ces associations, les magistrats chargés de l’enfance sont mal formés. L’école nationale de la magistrature prévoit de toujours faire appel à des personnes ou à des associations « plus porteuses d’une idéologie que d’un savoir authentique » relève Mme Brunet-Jambu.

Le combat concerne aussi le contrôle des travailleurs sociaux (assistants sociaux, psychologues, psychiatres). Tous doivent obligatoirement être inscrits sur le fichier ADELI (selon un arrêté de 1998), dont le but est, entre autres choses, de vérifier les diplômes de chacun.

Or Laurence Brunet-Jambu a remarqué l’absence sur ce fichier, de plus de 8 000 personnes dans 40 départements. « A commencer par une partie des professionnels qui ont examiné l’affaire de la petite Marina », morte, sous les coups de ses parents.

Les Agences régionales de santé (ARS), supervisées par le président du Conseil général et le préfet, portent une lourde responsabilité. C’est elles qui sont chargées d’enregistrer les diplômes et de vérifier les contenus des formations.

L’article 223 du code de la famille et de l’aide sociale stipule que « dans chaque département, le préfet dresse annuellement la liste des personnes qui exercent régulièrement une des professions visées au présent chapitre en indiquant la date et la nature des diplômes, titres ou certificats dont elles sont effectivement pourvues ».

Quand les magistrats ne font pas appel à des travailleurs sociaux issus de l’administration, ils s’adressent à ceux venus « d’associations géantes » où le recrutement se fait par petites annonces. D’ailleurs, ces associations sont largement arrosées par les Conseils généraux, qui leur versent des subventions selon le nombre d’enfants qu’elles ont pu placer…

Philippe Séguin parlait dans ce cas de « chasse à l’enfant ». « Les placements abusifs constituent l’une des principales causes de maltraitance institutionnelle » déclare Laurence Brunet. A ce propos, elle observe que les foyers sont bondés et coûtent trois fois plus cher que les internats d’excellence qui vont devoir fermer par idéologie, sans compter les internats tout court.

D’ailleurs nombre d’associations reçoivent des versements opaques, « en deux fois… » relèvent notre observatrice. Certains membres de ces associations sont aussi psychologue, et donc juge et partie. Les conflits d’intérêts sont flagrants. « Le Conseil général paye des avocats pour enlever et placer des enfants » peste-t-elle.

A Rennes, les médiateurs familiaux, regroupés sous le nom d’Union des associations familiales, sont elles aussi financées par le Conseil général.  Leur formation laisse à désirer car il n’y pas de diplôme de médiateur, selon Laurence Brunet-Jambu. « Nous avons une enquêtrice sociale dont le mari est expert pour le tribunal, une juge pour enfant dont le mari est expert, un éducateur spécialisé devenu juge » relève-t-elle. De toutes jeunes assistantes sociales ne sont  à que pour aider mais pas formées pour s’occuper des enfants ni pour savoir qui doit rester avec ses parents.  Leur nombre a doublé voire triplé dans certains départements.

Enfin le statut des assistantes familiales constitue une réelle niche fiscale qu’il faut critiquer. Leur salaire peut aller de 3 000 à 6 000 € en moyenne et jusqu’à 8 000 € nets par mois, sur lesquels elles ne payent pas d’impôts. Cela représente des dizaines de milliers de foyer fiscaux et se chiffre en dizaines de millions chaque année.

Au vue des toutes ses dérives, l’ADUA et les associations réunies en collectif pour l’occasion ont envoyé un manifeste au président de la République, demandant que la société civile et les avocats aient un contrôle de toutes ces structures liées à l’enfance.

Elles réclament également qu’un code de bonnes conduites soit élaboré. Au ministère de la santé, Bertrand Dassé, responsable du fichier ADELI, n’a pas souhaité nous répondre à cause d’un « entretien qui s’est mal déroulé avec certains journalistes ».

Selon son collègue du ministère Badouraly Mahamadaly, « l’article 433-17 du code pénal  n’a pas semble-t-il  pas de lien direct avec le fait d’être inscrit ou non au fichier ADELI : puisqu’en effet, des personnes peuvent être titulaires du diplôme requis sans être enregistré dans ADELI. Rien ne prouve donc qu’elles usurpent un titre ».

Cet article 433-17 du code pénal rappelle que « l’usage, sans droit, d’un titre attaché à une profession réglementée par l’autorité publique ou d’un diplôme officiel ou d’une qualité dont les conditions d’attribution sont fixées par l’autorité publique est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende ».

Pour Laurence Brunet-Jambu, « cette personne ne sait pas lire le code pénal ». « Il suffit de lire les débats parlementaires sur le fichier ADELI pour comprendre que  les psychologues et les assistants de services sociaux sont en usurpation de titre, Monsieur Dassé nous l’a confirmé le 9 octobre 2013 dans son bureau » indique-t-elle.

Pour les travailleurs sociaux qui ne seraient toujours pas convaincu de l’obligation d’être inscrit sur ce fichier, ils n’auront qu’à se reporter à l’article L411-2 du code de l’action sociale des familles qui commence comme suit : « Les assistants de service social sont tenus de faire enregistrer sans frais leur diplôme ou attestation de capacité à exercer auprès du service de l’Etat compétent ou de l’organisme désigné à cette fin. En cas de changement de situation professionnelle, ils en informent ce service ou cet organisme ».

L’article 222 du code de la famille et de l’aide sociale ira dans le même sens : « Les assistantes, assistants ou auxiliaires de service social sont tenus, dans le mois qui suit leur entrée en fonctions, de faire enregistrer à la préfecture leur diplôme, brevet, titre ou certificat ».

En Ille-et-Vilaine, les choses semblent avancer, constate Laurence Brunet-Jambu. Les gendarmes commencent à faire remonter de nombreuses plaintes d’enfants victimes vers le procureur. Espérons que le système fonctionne…

Pierre Bergerault

Il y a 25 réactions.

Par SOS parents Abusés, le 25/07/2013

En France les abus du système de la soit disant protection de l’enfance sont nombreux, et les dérivent vont bon train.

De nombreuses associations de défense des familles comme nous même SOS Parents Abusés, le CEDIF et bien d’autres , ne cessent d’alerter depuis des années les pouvoirs publique, mais l’indifférence est la seule réponse à ce jour.

C’est d’ailleurs pour cela que nous avons édité en 2010 un rapporte associatif relatif à la protection de l’enfance, ( Rapport complet disponible ici en PDF: http://ddata.over-blog.com/2/49/75/55/Rapport-associatif-relatif-a-la-protection-de-l-enfance-edi.pdf ), ou nous apportons aussi des solutions, mais malheureusement les mentalités ne sont pas prêt d’être changés par cette catégorie de travailleurs sociaux, avident de ce petit pouvoir qu’ils ont sur les familles et a détruire celles qui n’auraient jamais du se trouver sur leur chemin et qui n’avait rien à se reprocher dans l’équilibre familiale, ni dans leur façon de vivre.

Entre autre L’INSEE nous livre sont constat que près de 40 % des jeunes sans domicile ont connu le placement dans un foyer, en famille d’accueil ou dans une institution spécialisée ( Page 91)
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/es391-392e.pdf
Que dans certain département comme les Alpes Maritimes 40% des signalements sont effectués par le milieu scolaire et va s’intensifier dans toute la France, d’après le résultat des dernières assises nationales de la protection de l’enfance au Mans en février 2013.
Que le 14 novembre 2012 le Conseil de l’europe se montrait particulièrement préoccupée par certaines affaires dans lesquelles des enfants ont été retirés à leur famille contre la volonté de leurs parents biologiques.

Qu’un rapport de l’Igas en 2000 dénoncais déja les procédures brutales et l’absence d’informations pour les familles. (et cela n’a pas évolué en 13 ans) et cela malgré la réforme du 5 mars 2007.

Que beaucoup de conseils généraux refuse encore l’accès au parents du dossier d’assistance éducative (étant du domaine administratif) et cela selon La loi n°78-753 du 17 juillet 1978 (modifiée en 2000 puis en 2005) le droit de tout citoyen d’accéder aux informations le concernant détenues par une administration ou un service privé assurant la gestion d’un service public.

Que les droits des familles sont bafoués en permanence, par un grand nombres de travailleurs sociaux. Que l’exercice de l’autorité parentale dans le cadre du placement n’est jamais respecté.
Qu’une analyse comportementale est nécessaire, car il me semble qu’une certaine catégorie de professionnels de l’enfance a grand besoin d’une remise en question, cette institution supposée mettre les enfants à l’abri.

Mais à l’abri de qui ? De quoi ?

Le système casse les enfants plutôt que de trouver une formule pour les maintenir au sein de la cellule familiale. Lorsque l’on place des enfants en famille d’accueil il ne faut pas qu’ils s’y sentent trop bien afin que ces enfants ne puissent pas s’attacher aux familles d’accueil. Ils se retrouvent alors baladés de famille d’accueil en famille d’accueil ou foyer, surtout lorsque les services sociaux s’aperçoivent que l’enfant bénéficie de trop de bien être.

Comment maintenir un lien avec les parents lorsque les enfants sont placés à des centaines de kilomètres, car l’idée de départ des travailleurs sociaux n’est pas de trouver une famille d’accueil proche du domicile des parents, bien au contraire.

Quand on pense que dans le programme des assises de la protection de l’enfance de 2010 à Marseille était inscrit « comment retisser le lien », des assises faites seulement pour les institutions et pour verser dans l’auto-congratulation ! Ni la paroles des enfants ni celle des parents n’a eu ça place, des assises digne d’une grande messe, où chacun fait l’éloge de ce qu’il fait dans sa profession afin de se donner les raisons d’être et de continuer a fonctionner de la même façon.

Encore une fois on parle à la place des absents !! Quelques professionnels quittent la profession ne voulant pas cautionner de tel abus.

Qu’est ce qui est fait concrètement par les travailleurs sociaux pour recréer le lien ?

Dans leurs discours lors de leurs réunions, ils parlent sans cesse de ce lien à recréer. Dans la réalité ils ne font que gérer le quotidien et encore seulement dans les grandes lignes.

La recréation du lien est une théorie jamais mise en pratique. La pratique consiste au contraire à casser le lien, c’est ce qui se passe lorsqu’ ils empêchent les parents de voir leurs enfants sous prétexte que c’est pour le bien de l’enfant. Il serait temps de demander à l’enfant avant de décider ce qui est bien pour lui et non de le lui imposer, surtout si il est demandeur pour voir ses parents, et surtout si il n’a pas encore été victime d’aliénation de ces travailleurs sociaux.

Quelque soit la raison pour la quelle il a été retirer de sa famille, il y a bien d’autre solution avant d’en passer par le placement brutal de l’enfant. (cicatrise psychologique irréversible)

Ce qui est des plus choquant dans l’attitude de l’ASE c’est le flicage permanent des familles. Cela peut se passer notamment par l’ouverture systématique des courriers quand ceux-ci sont remis au destinataire « enfants ou parents » car le courrier n’atteindra jamais son but et reste une chose rare.

Même si il y a de temps à autre des contrôles sur les foyers de l’enfance et les familles d’accueil, ceux-ci sont avertis à l’avance, donc cela leur laisse le temps de mettre tout en ordre. Ainsi l’ASE considère que tout va bien, que chacun fait bien son boulot, et donc chacun garde son poste et sa paye, car cela est un vrai business, étant donné que certaines familles d’accueil hébergent plusieurs enfants.

Il faut aussi savoir que, d’après la Cour des Comptes, les contrôles des structures d’accueil sont effectués une fois tous les 25 ans, ce qui laisse de beaux jours pour continuer à y faire ce qu’ils veulent avec les enfants.

Plus on avance dans le temps et plus rien ne change, alors que les années passent. Seules les étiquettes valsent et l’on ressort le même produit, dans les PMI (Protection Maternelle et Infantile) il y existe des logiques de quota et pour légitimer l’existence sur un secteur, eh bien il faut faire remonter « X » cas et à un moment donné il existe des situations qui vont être pointées du doigt et stigmatisées, alors qu’a coté de ça il y aura des situations bien plus dramatiques et sur les quelles tout le monde va fermer les yeux.

Et ce n’est pas parce qu’une famille a des difficultés sociales et financières que les enfants sont mal élevés et manquent de la satisfaction de leurs besoins primordiaux, manquent d’amour. Cet amour, l’ASE les en privera de façon brutale en les séparant du cocon familial.

Depuis les année 70 les travailleurs sociaux se sont arrangés pour placer les enfants hors institution et donc en familles d’accueil. Il est arrivé que des enfants servent de main-d’œuvre bon marché chez, par exemple, des agriculteurs. Cette politique là existe toujours car les institutions coûtent cher, et il faut rémunérer le personnel administratif, l’équipe éducative, un psychiatre ou psychanalyste, c’est pour cela que régulièrement des institutions s’insurgent des baisses de budget.

Pour légitimer les placements et faire augmenter son niveau d’activité pour obtenir toujours plus de financements, l’ASE va donc trouver des problèmes là où il n’y en a pas.

Le souci de maintenir les enfants au sein de leur famille biologique, la réelle prévention n’existe pas. En effet, comme chacun ne le sait pas assez, un enfant peut aujourd’hui être retiré au parent sur simple dénonciation calomnieuse ou par un complot. Eh oui, comment qualifier autrement des situations où seulement certains enfants dans la fratrie sont enlevés, la famille serait-elle dangereuse pour une partie seulement de sa progéniture ou s’agit-il d’une pression pour que la famille soit maintenue dans l’insécurité du risque de placement de ses autres enfants ?

Ce qui est aberrant c’est que toutes ces décisions sont prises à huis clos. C’est lors de réunions internes, donc à l’abri de tout regard externe, que l’équipe éducative en compagnie éventuellement d’un pédopsy, va évoquer chaque situation selon l’actualité du moment et les préoccupations toutes particulières des travailleurs sociaux. Dans leur grande subjectivité, ces gens pourront provoquer des ravages sur les familles sans aucune considération des conséquences de leurs actes, hormis le souci de moyens supplémentaires qu’ils pourront obtenir.

Une autre aberration lorsque qu’il y a une expertise psychiatrique sur une famille est la suivante : le praticien prend connaissance du dossier complet avant son examen. L’attitude a priori bienveillante du psy n’est alors qu’un faux semblant. Comment une expertise peut-elle être impartiale après avoir été imprégnée au préalable de toutes les informations qui ont permis de constituer un dossier sur une situation.

Le diagnostic du praticien en est donc faussé. Diagnostic faussé d’autant que les praticiens sont choisis d’avance et payés par les tribunaux, ce qui ne permet pas aux familles de consulter un praticien de leur choix.

Lorsque que l’on retire un enfant de 5 ans, voire un nouveau-né et qu’il reste placé jusqu’à ses 18 ans et au-delà, lorsque sous couvert du secret professionnel les dossiers suivront les personnes à vie, alors que les familles en question ne se laissent pas faire, ces dossiers auront une fâcheuse tendance à disparaître.

Étrange non ? Cela signifie tout simplement que des scandales de placements abusifs sont étouffés. Les placements cela reste un commerce pour faire vivre une catégorie de personnes dont la marchandise est l’enfant, un simple objet quoiqu’ils en disent pour légitimer l’existence d’une structure. Parler au nom de l’enfant, de son bien être, qu’est ce que cela veut dire quand sa parole n’est jamais entendue, ou détournée comme cela arrange.

Aujourd’hui on se demande qui a légitimité pour faire des signalements !

Des signalement au nom de quels critères, quels vont être les indicateurs et les indices qui vont prouver que l’enfant est en maltraitance, qui a les compétences pour révéler qu’un enfant est en difficulté, à part choisir des stéréotypes comme il en existe plein, qui continuent à courir et qui vont prédéterminer des profils de famille en difficulté éducative. Car c’est comme cela que l’ASE trouve des indices là ou il y en a pas.

Quelle est la formation des gens qui sont supposés s’occuper des suivis et quelle est celle de tous ceux qui travaillent dans des associations complémentaires contrôlées par personne.

Ces professionnels du travail social vont mettre en action des directives mais sans réel cahier des charges avec items d’évaluation et résultats. La seule chose qui est prise en considération est le résultat financier, les quotas, si il ne peuvent accueillir que 100 personnes ils vont s’arranger pour en accueillir 110 afin de légitimer une augmentation de budget l’année suivant.

Et au nom du sacro-saint secret professionnel, l’ASE cache la vérité à ceux qui sont directement concernés, » les parents », à coté de cela les dossiers circulent d’une institution à une autre et sont remis à des personnes qui n’ont pas forcément les compétences pour avoir accès à ce type de dossier. Sans parler des informations qui transitent par téléphone et des connivences entre services sociaux et certains juges, ce qui nuit au bon fonctionnement et contribue au manque d’impartialité encore une fois.

La corruption dans le secteur du social existe et il serait temps qu’une instance « indépendante » directement saisissable par les familles contrôle tout cela.

SOS Parents Abusés.

Par zeghoudi fatima, le 25/07/2013

Mes enfants et moi avons encore et a vie ceux que A.S.E a fait oui ces maudit placement Abusive auhourd’hui cela a ètait tellement loin trops loin j’ai donc dèposer plainte contre la France !!car tout les recourd possible on ètait utiliser et A.S.E ce rèjouis a chaque foi lorsque des Parents ce retrouve seul face a une injustice ,mais a force d’avoir briser tend de famille et depuis trops longtemps et bien je vous dit vous A.S.E et vous Magistrats qui briser ces Famille ,le peuple a attendu nos S.O.S ,les crie de nos enfants et nous demandons tous unis STOP AUX PLACEMENTS ABUSIVE et si vous douter jetter un oeil sur ce site http://www.djemilayamina.blogspot.com et je suis plus que dèterminer après tous c’est vous qui nous priviez de nos enfants alors j’utilise ces moments que vous m’vez voler a transformer cette revolte en combat juste et noble pour ces familles ces enfants je signerais au tend de pètition qu il faudra et soutiendras toutes action pacifique de ces parents briser ..

Par maman abusée, le 25/07/2013

Ses dérives ne sont pas nouvelles et durent depuis bien trop longtemps!
Nos enfants nous sont arrachés pour des mensonges, pour des raisons qui n’en sont meme pas!
L’ASE « un etat dans l’état » ils font leurs propres lois…..
Et nous pauvres parents que nous sommes nous ne pouvons que subir ses abus car nos recours sont faibles et nos paroles jamais prise en compte ni celles des enfants d’ailleurs….

L’ASE détruit des familles qui n’ont pas besoin de leur soit disant aide, mais n’hésite pas a laisser des enfants mourrir aux mains de personnes maltraitantes.

Il est grand temps que tout le monde ouvre les yeux sur ses services corrompus et interesser par les apports financiers que leur apporte nos enfants…..

Le jour ou nous seront enfin reconnus victimes de ses services , ce jour la sera a graver dans une pierre blanche ……

L’espoir fait vire, alors vivons en esperant que les choses bougent enfin et que la vérité eclate et soit enfin reconnue.

Par Valbisdubois, le 25/07/2013
Par LENDO, le 26/07/2013

Très instructif comme article qui dit tout. Nous avons un pouvoir aussi, qu’est-ce qui nous empêche de faire des marches à Paris, à Rennes, etc … pour nous faire entendre et faire bouger les choses ????

Par assmat, le 26/07/2013

… »Enfin le statut des assistantes maternelles constitue une réelle niche fiscale qu’il faut critiquer. Leur salaire peut aller de 3 000 à 6 000 € en moyenne… »

Ce sont des assistantes FAMILIALES Mr Pierre Bergerault , un peu de rigueur de votre part éviterait bien des déconvenues.

Par maryse robin, le 26/07/2013

je trouve tout ça effrayant, il faut une vraie justice, comment peut on détruire ces vie en toute légalité.
il faut continuer à nous informer, merci.

Par Françoise Näser, le 27/07/2013

nous sommes de nombreuses assistantes maternelles à avoir réagi au passage concernant nos revenus ( voir ma page fb) . J’imagine cependant que vous parlez ici des assistantes familiales . Certes, il s’agit toujours d’accueillir des enfants, mais ce sont néanmoins deux métiers bien différents .

Cependant notre fiscalité est la même : nous déduisons 3x le smic horaire par jour lorsque nous déclarons nos revenus, car nous bénéficions d’un régime fiscal particulier . Cette année, l’administration fiscale nous a obligées à déclarer une somme fictive correspondant aux repas que les parents apportent pour leurs enfants (lorsque ce n’est pas l’assistante maternelle qui les nourrit) , car ces repas sont considérés comme un avantage en nature : ceci pourrait d’ailleurs faire le sujet de l’un de vos cris du contribuable ! Car nous payons des impôts, bien entendu .

Nous sommes 330 000 en France et représentons les travailleurs sociaux les plus nombreux . La moitié des assistantes maternelles perçoit moins de 754€/mois, un quart perçoit moins de 453€/mois alors que le quart supérieur perçoit plus de 1103€/mois ( http://www.unsa-assmat91.com ) .

Serons-nous en droit d’attendre de votre part un rectificatif concernant nos revenus ?

Cordialement

Par Witchlette, le 27/07/2013

Comment condamner un innocent à la place du coupable en 10 leçons

1° Oter la garde des enfants à la victime de violences conjugales et les remettre à l’agresseur condamné pour violences.
Ceci constituera un premier traumatisme qui affaiblira les victimes.

2° ATTENDRE

3° Nier toutes preuves de violences et maltraitances sur enfant, et ce dans tous les dossiers et toutes les juridictions.
Refuser toute audition de l’enfant, ou en détourner les termes, supprimer les dénonciations compromettantes.
Faire disparaître les dossiers délocalisés qui arrivent avec auditions filmées.
La souffrance d’un enfant est très jouissive.

4° Classer les plaintes de la victime pour violences, récidives de violences, non-représentations d’enfant de la part de l’agresseur, etc… ou ne donner aucune réponse (si possible faire disparaître le dossier).
Transformer les plaintes pour récidives de violences conjugales en “dénonciation calomnieuse”. C’est une manipulation de procédure très efficace sur un temps plus ou moins long.
Refuser tout dépôt de plainte dans les services de police, ou les transformer en mains-courantes.
Refuser à la victime toute copie de déposition.
Nier toutes ses demandes de mesures d’urgence de protection de l’enfant et ne surtout pas joindre ces preuves de contacts au dossier.
Tout doit apparaître comme des carences de sa part pour qu’un délit soit constitué.

5° Accepter toute déposition de l’agresseur, en particulier plaintes pour “non-représentation d’enfant” et collaborer entièrement à ses objectifs.
C’est un délit que nous affectionnons particulièrement et qui a fort bien fonctionné dans d’autres cas d’emprisonnement.
Transférer à toutes autres juridictions ses courriers, déclarations, et autres documents qu’il apporte. Surtout n’effectuer aucune vérification de ses dires. Ceci pourrait faire échouer le plan.
Le soutenir dans ses allégations de dangerosité de la mère envers l’enfant, même si nous savons que c’est lui l’agresseur.
Accepter ses faux témoignages écrits de sa main ou de celle de son avocate, par exemple écrits à la place de l’ex-petit ami refoulé par la victime. Personne n’aura l’idée de vérifier l’écriture.
Et si la victime veut déposer plainte pour faux et usage de faux : refuser catégoriquement ses plaintes.
Une tierce personne avide de vengeance est une aubaine qui aide à l’aboutissement de notre plan. Ne pas vérifier si cet ustensile a été interné plusieurs années pour schizophrénie, ou s’il est alcoolique. Ne faire aucune enquête.
Monter avec son aide des dossiers pour “abus de confiance”, “projet de fuite à l’étranger avec l’enfant”, “obtention indue de titre administratif” “projet d’homicide de l’agresseur”, etc… Tous les délits sont bons à prendre, et submergeront la victime qui finira bien par se suicider un jour ou abandonner la partie…
Et si par hasard la victime arrive à retrouver un emploi, saisir son salaire par nos huissiers amis toujours prêts à agir sans titre exécutoire. Ceci est très amusant.
Faire traîner toutes les procédures qu’elle demande… jusqu’à radiation et/ou caducité.

6° Harceler la victime de convocations, au commissariat et au tribunal.
Choisir la période des vacances scolaires lorsqu’elle est partie. Il sera ensuite fait mention, dans tous les dossiers et PV, de ses carences et ses refus de répondre aux convocations.
Surtout ne jamais prévenir la victime de l’objet de la convocation, pour l’empêcher de préparer sa défense.
Inscrire simplement sur les convocations “affaire vous concernant”.
Ou lui faire croire qu’il s’agit d’une audition de l’enfant pour qu’elle vienne avec. Si nécessaire lui arracher l’enfant des bras. Ceci est très jouissif, surtout s’il pleure. Un enfant n’est qu’un objet, une marchandise, très utile pour l’agresseur.

Multiplier les “enquêtes de voisinage” afin de diffamer la victime et l’isoler du monde extérieur. Surveiller constamment sa maison, vérifier au moyen d’une lampe sous la porte de garage si la voiture est présente ou non. Parcourir les rues et centres commerciaux afin de pister la victime pour qu’elle se sente traquée.
Mettre son téléphone sur écoutes pour la priver de toute liberté et violer sa vie privée. Cela nous permettra en même temps d’extraire des éléments de leur contexte pour lui trouver des griefs, méthode qui a déjà fait ses preuves.
Contacter de préférence les nouveaux substituts, qui n’ont pas connaissance des antécédents de violences conjugales ni des dossiers en général.
Pour plus d’efficacité, leur faire croire à une dangerosité de la mère. Le temps qu’ils comprennent la réalité, la procédure sera déjà lancée sans point de non-retour.
Obtenir absolument un Art. 78 CPP de ces substituts à manipuler, ce qui nous donne la possibilité d’enfoncer la porte du domicile, d’enfermer et torturer la victime sous couvert de légalité, puis obtenir une autorisation de prolongation de garde-à-vue sous divers prétextes qui peuvent facilement être évoqués par téléphone auprès de ces substituts.
Interdire que l’entourage de la victime soit averti de son enfermement, cela risquerait d’alerter les plus hautes autorités – comme cet incident regrettable du 12 mai 2007 lorsque le Président du Sénat a voulu se renseigner sur la victime -, et faire échouer le plan.
Ne prévenir aucun avocat, dans la mesure du possible.
Interdire naturellement eau, médicaments, et toute nourriture. Il sera mentionné dans le PV de sortie qu’elle a “refusé la nourriture”. L’objectif est d’attaquer sa santé. Ne pas oublier de la brutaliser et la menacer, ce qui l’affaiblira davantage.
Obtenir autorisation de “perquisition” à domicile pour permettre de lui voler ses dossiers et affaires diverses sous couvert de légalité, puis remettre à l’agresseur ce qu’il a réclamé. Personne ne pourra vérifier nos actes dans ces conditions.
Ne pas oublier d’attacher la victime à son domicile pendant le saccage sous ses yeux. Lui interdire encore eau et médicaments à sa portée.
Serrer les menottes à outrance puisque nous avons le feu vert pour nous défouler dans les tortures. _ En cas de plaintes ultérieures nous pourrons toujours arguer que nous agissions sur ordre de nos supérieurs et du Parquet.
Monter des faux dossiers d’accusations en vue de transmission aux magistrats correctionnels, procureurs et juges d’instruction, pour condamnation.
Obtenir en même temps un ordre de transport auprès du service de psychiatrie du C.H. de Brive. Tenter par ce biais d’obtenir un certificat médical de dangerosité ou de problèmes mentaux, ce qui pourrait faciliter un internement et nous donner moins de travail. Nous n’y sommes pas parvenus jusqu’à présent dans cette affaire.
A la fin, si la victime refuse de signer les procès-verbaux mensongers, la menacer de coups.
Déférer la victime de violences en réunion au Parquet avec menottes et girophare. La mettre en cellule pour la traumatiser davantage. Ceci est très jouissif.
Si elle se plaint et dénonce, l’accuser aussitôt de “délire de persécution”.

7° Faire pression sur ses avocats pour qu’ils se désistent dans ses dossiers, ou de préférence les amener à collaborer pour sabotage.
Il existe pour cela de nombreux moyens à notre disposition, qui ont parfaitement fonctionné depuis 2001.
Cependant la victime dans la présente affaire apparaît comme particulièrement coriace, une centaine de dossiers d’AJ ayant été répertoriés au BAJ ainsi que dans d’autres tribunaux, pour sa défense en général.
Nous constatons aussi qu’elle n’hésite pas à se retourner contre nos avocats collabos et à soulever les anomalies de procédures, ce qui nous entrave quelque peu dans l’aboutissement de notre plan.

8° Attention aux communications ultérieures de pièces de la part de la victime, qui pourraient faire échouer le plan. Les refuser ou les jeter si elles arrivent à être interceptées avant que les magistrats ne les voient.

9° Ne pas avertir la victime de la date d’audience ou de report d’audience.
Bloquer toute désignation d’avocat au BAJ.
Avertir seulement l’agresseur, ce qui lui évitera également de payer un avocat, et lui permettra d’avoir toute liberté pour manipuler le(s) magistrat(s) durant l’audience.
N’oublions pas qu’il est fait droit aux demandes de la seule partie présente.

10° CONDAMNATION en audience en l’absence de la victime. Objectif atteint.
Si la victime envoie une opposition à condamnation par défaut, rejeter cette procédure en prétextant un “contradictoire à signifier”.
Salir son casier judiciaire : ainsi la victime ne pourra plus retrouver de travail et sera tuée socialement et professionnellement.
Poursuivre les faux dossiers d’accusations avec harcèlement pour obtenir l’emprisonnement ferme de la victime pour “récidive”… si elle n’a pas craqué avant.

Note : A ce stade des procédures et vu la tournure que prend cette affaire, ne serait-il pas plus simple de restituer l’enfant à sa mère et de s’attaquer à d’autres victimes moins coriaces ?

Par leconte, le 28/07/2013

Bonjour, merci de vérifier vos informations avant de publier un article. Une assistante maternelle ne gagne pas 3000 euros par mois et encore moins 8000 euros avec en moyenne 3 agréments pour 50heures par semaine cela ne revient même pas à 2000euros. Avez vous fait la différence entre assistante maternelle et assistante familiale? je crois que encore une fois il y a eu erreur étonnant pour un journaliste…..

Par delvarre noelle, le 28/07/2013

Grand-mère d’un petit garçon de 5 ans placé à l’ASE, je peux certifier des difficultés, des impossibilités des relations avec cette association « Aide Sociale à l’Enfance » (qui dépend du Conseil Général de l’Isére (Grenoble). Mensonges, propos calomnieux, mépris sont monnaie courante.
Je participerai à la marche du 8 aout pour « dénoncer » cela.
Je manifeste déjà tous les vendredi sur Grenoble, tranquillement.
J’informe, je rencontre les députés de ma région.
Merci pour cet article et pour les commentaires.

Par Collectif AUTRE MONDE, le 30/07/2013

LE COLLECTIF AUTRE MONDE
Adresse de prêt :
BP 42 …..
à Monsieur Horace Lanfranchi
Président du Conseil Général du Var

à Monsieur Paul Mourier
Préfet du Var

LR/AR : du 14 Février 2011

Objet : ADSEA du Var / Sauvegarde de l’Enfance
Enfants M……… Cogolin / Grimaud

Monsieur le Président du Conseil Général du Var,
Monsieur le Préfet du Var,

Messieurs,

Il serait hypocrite de la part du Collectif Autre Monde de vous demander si vous êtes informés de l’affaire « Amidlisa Pédocriminalité Var » qui devient le ridicule et la honte de votre département. (Ci- joint LR/AR du 31/01/2011et 03/02/2011 à Madame le Procureur de la République Danièle Drouy-Ayral du T.G.I. de Draguignan).

C’est en votre qualité d’autorité de tutelle et d’acteurs financiers de l’association objet de cette lettre que nous nous permettons de vous rappeler les gravissimes accusations portées par les enfants M ……. de Cogolin à l’encontre de deux employés de cette association subventionnée et en charge de la petite enfance de votre département, en l’occurrence
l’ ADSEA du Var / Sauvegarde de l’Enfance. Ces employés ont été de plus en charge éducative de ces enfants. (Vidéos de témoignages des enfants et dessins en notre possession)

Il est à signaler d’autre part qu’une employée toulonnaise du SEAT de Toulon (Service de l’Enfance auprès des Tribunaux) fait l’objet d’une plainte de la part de la famille maternelle de ces enfants pour déclarations mensongères près le Procureur de la République de Nice Eric de Montgolfier.

Cette affaire M …… ne serait que commérages et diffamations pour certains si leurs récits n’étaient confortés par les écrits mêmes de la gendarme Amidlisa et par d’éminents pédopsychiatres qui ne voient pour ces trois enfants réitérant leurs déclarations devant eux, d’autre hypothèse que la conséquence pertinente d’abus sexuels. Au Collectif l’on en est à se demander pourquoi le dépistage HIV ou l ’I.R.M. des parties basses demandés par différents spécialistes pour ces enfants n’ont jamais été effectués par ceux qui avaient le suivi, la charge et la responsabilité physique et morale de ces enfants à savoir l’ADSEA du Var ?

Mais ce ne serait que commérages et diffamations également pour certains, si au Collectif Autre Monde lors d’investigations sérieuses nous n’avions relevé de la part d’un cadre de l’ADSEA du Var, cadre partie prenante dans l’affaire M …….. , des connivences hasardeuses et pour le moins étranges entre une association satellite présidée par ce cadre, le Parquet de Draguignan et certains très suspects experts psychiatres mandatés près les tribunaux, tout cela aux entiers dépens de la famille plaignante.

Connivences, que certains impulsifs membres de notre Collectif taxèrent tout de go de « panier de crabes’’ ou ‘‘d’association de malfaiteurs’’ mais qui, de notre avis et vues les implications des intervenants pourraient aisément être sanctionnées pour déni de justice, ainsi que forfaiture et conspiration en bande organisée.

Monsieur le Président du Conseil Général du Var, Monsieur le Préfet du Var, il nous semblerait pour le moins urgent pour la sécurité de la petite Enfance et important quant à l’utilisation des deniers publics de vos administrés de recadrer autant que se peut certains éléments ou structures hiérarchiques de cette association varoise.

Ceci d’autant plus que certains membres de notre Collectif commencent à se poser certaines questions :

Extrait de ‘Interrogations & Constatations’ du dossier ‘Amidlisa Pédocriminalité Var’ du Collectif Autre Monde :

9°)

Les enfants M…… ont dénoncé à leur mère et à leurs grands-parents une quinzaine de meurtres d’enfants dans la période allant de fin 2008 au premier trimestre 2009. Décrivant des méthodes de mise à mort différentes filmées, citant des noms d’adultes présents en des lieux différents, indiquant même précisément une villa huppée de la côte varoise; meurtres dont nous avons tous les lieux, noms et adresses.

Question : Comme en Europe de l’ouest, outre la disparition du petit Antoine de Brugerolle l’on ne dénombre que deux autres disparitions inquiétantes d’enfants pour ces années 2008/2009 (Une petite Portugaise de 3 ans le 01/01/09 et encore il s’agirait d’un enlèvement parental …et une fillette de 8 ans le 27/05/08 au Pays-Bas) …

D’où viennent donc tous ces enfants sacrifiés ?

Des pays de l’Est? A moins que, comme pour l’affaire ’Appoigny / Emile Louis’ et dans le cas présent, l’on ne se serve dans les milieux sociaux-éducatifs de la petite enfance varoise ?

Les récits peu élogieux et accusations des enfants M……. à l’encontre de Madame ……. psychologue à ——— et de Monsieur ———–, éducateur spécialisé à ———–, outre les sauteries en bandes organisées en présence des enfants et de plus au cours de snuff-movies, seraient susceptibles au sein de notre Collectif de conforter nos doutes et nous autorisent à certaines questions :

Comme cela implique un niveau de complicité hiérarchique évident
au sein même de cette association :

y aurait-il au sein de ces salariés, de par la spécificité de leur travail et vues les gravissimes accusations portées sur eux par ces enfants, le pourvoyeur ou du moins l’un des pions
de cet abominable trafic de chair fraîche ?

A moins que ces débordements ne trouvent aussi quelques racines dans les méandres des associations de malfaiteurs —— / ——— développés paragraphe 1°)
ou mieux encore dans les structures et hautes sphères
bien complaisantes et très suspectes de ce département du Var ?

Nous citons la gendarme Amidlisa :

« Nous avons actuellement plusieurs affaires dites sensibles où quelques gendarmes gradés, plusieurs procureurs ……………… et dit-on également des juges pour enfants de Draguignan et d’Aix, qui n’ont pas rempli leur mission publique mais détournent leur pouvoir dans leur propre intérêt qui est de protéger un réseau dont ils font partie. »

Monsieur le Président du Conseil Général du Var, Monsieur le Préfet du Var, avec nos respectueuses salutations.

Signé : LE COLLECTIF AUTRE MONDE

  • Par TERRIOU Bruno, le 01/08/2013

    Je confirme les dysfonctionnements des services sociaux et tribunaux d’instances Français , mais hélas la Cour européenne des droits de l’homme n’œuvre pas pour le bien être des parents d’enfant Français, des lors qu’un seul juge unique décide de la recevabilité de la plainte.

    Monsieur TERRIOU Bruno le 28 JANVIER 2010

    Cour européenne des droits de l’homme
    Conseil de l’Europe
    67075 Strasbourg – Cedex

    Objet : Violation de mes droits et ceux de mon enfant par privation du maintien de nos relations et défauts de soins

    Madame, Monsieur,

    Je tiens par la présente à vous communiquer mes dernières démarches :

    Après 14 mois de démarches, j’ai enfin réussi à rencontrer mon enfant dans le cadre d’une visite médiatisée, mais quel ne fût pas mon étonnement de retrouver mon enfant dans un état déplorable alors que, lorsqu’il m’a été arraché, il était en bonne santé.

    Ainsi , alors que mon enfant à une capacité respiratoire fonctionnelle vitale à 44 % couché et 78 % assis, le médecin de MDPH 94 me dit au téléphone que je n’ai aucune raison de m’inquiéter . Trouvez vous normal que sa situation se dégrade inexorablement alors que cela devrait être l’inverse ? Cette situation est elle normale pour un enfant de 16 ans ?

    Est il normal que personne ne se remette en question ? Est il normal devant l’échec patent des services sociaux, « on » continue de m’écarter de mon fils et que l’on n’envisage pas un retour au domicile de son père ?

    Va t il falloir attendre que la situation empire pour que finalement « on » me dise que tout a été fait dans les règles ?

    Je ne pouvais pas rester les bras croisés et attendre que ces personnes me préviennent qu’une chose irrémédiable et inconcevable ne soit arrivée à mon fils.

    Sans compter que mon fils aîné vivant avec moi, doit faire une demande par voie judiciaire pour entretenir des relations personnelles avec son petit frère !

    C’est pourquoi, en humble citoyen, bien impuissant devant l’inertie de l’état Français, et conformément aux différentes conventions internationales ratifiées par la France, que je vous demande à nouveau de l’aide.

    Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.

    Monsieur TERRIOU Bruno

    Note : Une des sources internationales en faveur du maintien des relations parents enfants, se trouve être la Convention internationale des droits de l’enfant de New York du 20 novembre 1989. Elle reconnaît, à travers différents articles (40), le droit pour l’enfant d’être élevé par ses parents, celui d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec eux, mêmes séparés et pose un principe de responsabilité commune des parents dans l’éducation de leurs enfants. Nous pouvons également citer l’article 8 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme qui protège la famille en considérant comme des ingérences dans le droit au respect à la vie familiale toutes mesures internes contraires et non justifiées par des intérêts supérieurs.

    Par sos cliché, le 16/08/2013

    SOS Parents abusés

    Quand je lis votre très long commentaires, je ne vois que clichés, amalgames et non connaissance de la formation, du métier et des conditions de travail des travailleurs sociaux

    Admettons qu’un partie de « votre vérité » soit avéré. Il y a justes des facteurs que vous ne prenez pas du tout en compte volontairement ou pas.

    Déjà un placement coûte en moyenne 2000€ pas mois et par enfant au conseil général. Votre discours disant que ça fait venir les financements est fausse. C’est le contribuable qui paie directement ces placements et au vu des comptes actuels des conseils généraux il vaut mieux pour eux limiter massivement les placements. Après que les associations qui sont subventionnés par la collectivité territoriales maintiennent des enfants ans leur établissements, c’est un autre sujet et l’ASE n’a rien à voir là dedans.

    Ensuite quand vous fustigez les assistants familiaux qui se font jusqu’à 8000€ sur le dos des parents et enfants… Cette somme varie en fonction des départements donc s’il vous plait pas de démago.

    Ensuite vient les méchants assistants sociaux qui se tapent trois ans d’études reconnu 2, avec des conditions de travail plus que discutables.
    C’est vrai on fait se métier là par plaisir de se prendre pour des juges car on a louper notre 1ere année de droit. Désolée mais j’en ris.

    Notre métier est aussi règlementé que celui d’un médecin à la nuance qu’on a une obligation de moyen et pas de résultat.
    Avec la loi de mars 2007 l’enfant est au centre de l’expertise du travailleur social. avec cette même loi on ne peut saisir l’autorité judiciaire si les parents se mobilisent pour leur enfant. Un placement ça répond à une situation de danger grave et irréversible dans le court terme. Après la loi de 2007 décrit très bien le danger donc je vous laisse la relire. Autre chose ce n’est pas que l’analyse du travailleur social qui fait qu’il y a placement ou non. Nous devons recueillir le constat de tous professionnel intervenant auprès de l’enfant ( prof, animateur, médecin…). Si vous croyez qu’on s’amuse à placer un enfant juste parce qu’il fait son cirque dans le bureau. Arrêtez vos blagues. On s’est tapé trois années de formation, plus les formations quand on est en poste pour justement ne pas faire ce genre d’erreur.

    Quand vous dites qu’on prend plaisir du pouvoir qu’on a franchement ça me choque. A chaque fois que j’ai du faire une demande de placement ( 3 en quatre ans dont 2 main levé pour bonne évolution) désolée mais j’ai envie d’exploser. Devoir annoncer à des parents que la seule solution pour protéger leur enfant le temps qu’eux se remettent en question ou ou posent certains acte c’est déchirant. Vous croyez quoi ? Dans nos réunion ou ont « parle de rétablir le lien » on joue au scrabble? on ne cherche pas d’autre solution? On essaie pas de maintenir l’enfant chez lui? Mais on y peut quoi si les établissements de jour ( retour au domicile des enfants le soir) ne sont que très peut mis en place, si les placement à domicile sont pas en fonctionnement faut d’argent ( l’enfant est au domicile et l’éducateur ASE vient toute les semaines. L’enfant à une plus réservé en structure en cas d’évènement de danger).
    Vous croyez qu’on fait se métier pour faire la misère à des parents? Notre éthique et notre déontologie ne nous le permets pas.
    Relisez bien cette loi de 2007 plus la loi de la prévention de la délinquance. voyez ce qu’elle demande aux collectivités de mettre en place et regardez ce qui est vraiment fait par les politiques. J’ai de la chance de bosser dans une collectivité ou le placement est l’ultime solution et ou l’ASE travaille à limiter dans le temps la période de placement.

    Posez vous simplement la question devant un gamin en mal être profond et avérer et devant le refus total des parents de l’admettre et d’y remédier vous feriez quoi?
    C’est la question que je me pose chaque jour. Et la réponse a été 3 fois le placement en 4 ans.
    Au lieu de prendre des exceptions pour fustiger les travailleurs sociaux de bourreaux parlez de la majorité des enfants qui ont pu voir autre chose que, les violences conjugales, les insultes, les coups, l’absence total de soins, l’errance, l’inceste, le trafic d’être humains, la carence affective, la non scolarisation,
    Il y a des gosses qui pendant un temps ont presque vécu normalement au lieu d’être à la marge de tout.

    Vous parlez d’un système que vous ne connaissez qu’à travers le discours des autres « souvent de familles ulcérés par les juges et l’ASE et par des chiffres que vous manipulez sans vous rendre compte du mal que vous faites.

    A cause de gens comme vous des parents ou des ados n’osent même pas demander l’aide qu’elle a le droit d’avoir par peur de la méchante assistante sociale qui place tous les enfants qu’elle croise. Je bosse en dans une cité sensible zone de sécurité prioritaire. Par chance pour les habitants du quartier je ne réponds absolument pas au tableau que vous dépeignez avec rage est sans objectivité.

    Il y a des gamins qui rentreraient tellement plus vite de placement si il n’y avait pas des gens comme vous pour créer de la haine envers l’ASE et les travailleurs sociaux. La séparation est déjà assez dur pour les parents. C’est pas de haine qu’ils ont besoin mais de soutien pour remettre dans leur foyer un environnement stable. Des fois ça tient à un suivi psychologique, un déménagement, un suivi budgétaire, un dépôt de plainte ou un divorce apaisé.

    Réfléchissez un peu avant de monter les gens les uns contre les autres. Celui qui joue avec son petit pouvoir derrière son écran en ce moment c’est bien vous

    a bon entendeur

    Par jezequel, le 18/08/2013

    pour ma part, je ne vais parler que de ce que je connais: les assistants familiaux ( et non assistants maternels… ).
    il est facile d’annoncer des salaires mirobolants à la volée…cela fait vendre mais il faut savoir de quoi on parle!:.
    il ne faut pas confondre le salaire net et les indemnités d’entretien et de vêture versées chaque mois.
    comme un assistant familial ne peut avoir que 3 agréments, son salaire net ne peut être supérieur à 3 000 €. et non « jusqu’à 8 000 € …. »
    si tout le reste de l’article est du même niveau de véracité……alors c’est triste

    Par julie, le 30/09/2013

    Les parents se plaignent tous d abus quand on leur enleve leurs enfants et les premiers sont ceux qui les maltraitent. Il faudrait donc les laisser aux mains de ceux qui finissent par les tuers . La loi est mal faite ca cest sur car trop d enfants maltraites sont laisser a leurs parents sans que rien ne soit fait. Il y en a beaucoup plis dans ce cas si il est juger que les parents maltraites leur enfant pourquoi leur laisser. Les parents revoennent en pleurant et en disant que c est une injustice mais ou est la justice quand vous trouver un enfant mort qui a soufert des mois voir des annees avant de mourir seul et dans la souffrance que jamais personne ne devrait endurer. Cest pour des gens comme ca que devrait etre reinstaurer la peine de mort

    Par dubois, le 13/10/2013

    L’ASE a détruit mes enfants et moi même ils ont été placés car violents envers moi! l ase n’a pas cherché à comprendre à leur violence ils ont fait violence en leur séparant de leur maman!!! ils m’en veulent!! et sont détruits!!
    Les éducatrices de l’ASE ne sont pas psy!!! elles fonctionnent au rendement (enfants placés) style elles font leur boulot!
    Aucune humanité
    .
    Mes enfants étaient peut-être violents envers moi, mais je les faisais suivre chez un psy! et je les aimais jamais ils ont été maltraités, je travaille il y a un très bon toit et le frigo rempli, ils n’ont jamais été délinquants!!
    Bref que de pleurs et de rancoeur des vies détruites, et après ils vous laissent choire.
    NON COMMENT

    Par Herault, le 03/11/2013

    Bonjour,

    Site en construction nous avons besoins de témoignage sur les placements abusif, vous pouvez deja voir les témoignages qu il y a

    Merci

    Par GALVANI, le 03/11/2013

    Comment peut on brisées des famille ,les juge cautionne tout pour que aide sociale a l’enfance et les famille d’accueille soit rémunéré 7500 euro par mois et par enfant ce système son inhumain pensant au fric et non au enfant

    Par Rose jULIA, le 10/11/2013

    Je suis Assistante Familiale depuis 13 ans et je viens de lire dans vos enquêtes du contribuable que d’après Mr Pierre Bergeraut nous toucherions de 6000 à 8000 euros par mois? Mais où donc avez-vous été chercher une telle ineptie. Je touche 1360 euros par mois net avec les indemnités d’entretien pour travailler 24/24, 7 jours/7, 365 jours par an. Si je n’accueille pas d’enfant mon salaire redescend à 450 euros par mois. Nous sommes une des professions les plus précaires de France Et pourtant je travaille pour un département dont les salaires ne sont pas dans les plus bas. Je ne comprends pas quel but vous poursuivez en écrivant de tels mensonges mais c’est absolument scandaleux de désinformer les citoyens de la sorte sur une profession déjà bien difficile et dévalorisée comme la nôtre. Comme nous aimerions toucher de telles sommes. Le seul avantage que nous ayons et qui soit dit en passant est le même que le vôtre journaliste, c’est de ne pas déclarer la totalité de nos salaires. Je pense que pour vous qui touchez certainement un bien meilleur salaire que le nôtre vous ne vous en vantez pas dans vos enquêtes. il serait bon que vous contrôliez vos sources avant d’écrire de tels aberrations. C’est le BABA d’un journaliste digne de ce nom!

    http://www.lecri.fr/2013/07/10/les-tragiques-derives-de-la-protection-de-lenfance/41807



    25/11/2013
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