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Tunisie contre l’aliénation parentale pour défendre les droits de l'enfant et protéger les parents

Tunisie contre l’aliénation parentale pour défendre les droits de l'enfant et protéger les parents

Pétition : Tunisie contre l’aliénation parentale pour défendre les droits de l'enfant et protéger les parents

Auteur : Tunisiens contre l’aliénation parentale

Créé le 09/05/2012 - Fin le 09/06/2012

22 Signatures

À l'attention : Membres du Conseil constitutionnel

L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce ne soit justifié.
En conséquence l’enfant est amené à haïr et à rejeter un parent qu’il aime et dont il a besoin, le lien entre l’enfant et le parent aliéné sera irrémédiablement détruit.
En effet, on ne peut reconstruire le lien entre l'enfant et le parent aliéné s'il y a eu un hiatus de quelques années, le parent aliéné devient un étranger pour l'enfant et le modèle principal des enfants aura été le parent pathologique, mal adapté et présentant un dysfonctionnement.
Beaucoup de ces enfants développent de sérieux troubles psychiatriques. Les effets chez l’enfant victime du syndrome d’aliénation parentale peuvent être une dépression chronique, une incapacité à fonctionner dans un cadre psychosocial normal, des troubles d’identité et d’image, du désespoir, un sentiment incontrôlable de culpabilité, un sentiment d’isolement, des comportements hostiles, un manque d’organisation, un dédoublement de personnalité et parfois, le suicide. Des études ont montré qu’une fois adulte, les victimes d’une telle aliénation ont un penchant pour l’alcool, la drogue et présentent d’autres symptômes de mal être profond. Si le processus est identifié , même s’il n’a pas encore porté ses fruits , il doit être considéré par les professionnels comme une violation directe et intentionnelle d’une des obligations les plus fondamentales d’un parent, qui est celle de promouvoir et d’encourager une relation positive et harmonieuse entre l’enfant et son autre parent. Le parent qui encourage ses enfants à ignorer les droits de visite doit être puni par le tribunal afin d'être rappelé à l'ordre On ne peut admettre qu’un parent stable et capable soit privé du droit d’exercer son rôle de parent, Sans menaces de sévères amandes, de séjour en prison ou de perte totale de la garde, le parent aliénant a peu de chance de changer. Les aspects juridiques et légaux : Afin de protéger les enfants des effets dévastateurs de l’aliénation parentale, plusieurs pays ont promulgué des lois dans ce sens, comme les etats unis, l'Allemagne, la France, le Brésil...
Exemple du contexte légal aux Etats-Unis :
*Le code pénal de l'état de Californie stipule que "Toute personne qui garde, éloigne, retient, soustrait ou cache un enfant et prive avec une intention malveillante le gardien légal de l'exercice d'un droit de garde ou une personne d'un droit de visite, sera puni d'un emprisonnement n'excédant pas un an, d'une amende n'excédant pas 1000 USD ou les deux.. *En Pennsylvanie, ce comportement est passible de 6 mois de prison avec sursis, de 500 USD d'amende et suspension ou suppression du permis de conduire.

Ainsi, le 25 Avril de chaque année plusieurs pays fêtent la journée mondiale pour la sauvegarde du lien parental. En Tunisie, l'absence de loi et de sensibilisation dans ce sens, et la lenteur des procédures constituent le meilleur allié pour sombrer nos enfants dans cette coupure. Concrètement, plusieurs enfants.
Il est temps pour promulguer en Tunisie des lois similaires afin de défendre un droit naturel de l'enfant, protéger son équilibre mental et social et arrêter la souffrance des parents tunisiens, sont déjà coupés d'un de leurs parents et plusieurs sont en train de subir le même ressort; des coupures lentes, définitives et irréparables



22/04/2013
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