Apéro géant à Montpellier: trois jeunes accusés de viol
Accusés de viol lors d'un apéro géant à Montpellier, trois jeunes ont été placés en garde à vue. (LP/ILLUSTRATION/GUILLAUME ROUJAS)
Trois jeunes soupçonnés d'avoir violé une Irlandaise de 17 ans, vendredi soir à Montpellier, lors d'un «apéro géant» organisé via Facebook, ont été interpellés, a annoncé samedi le directeur de cabinet du préfet de l'Hérault, Pierre Maitrot.
Arrêtés sur les indications de la jeune fille, ils sont accusés d'avoir pratiqué des attouchements sur la mineure vers 23h30 sur les lieux mêmes de l'apéro, la place de l'Europe, une grande pelouse plongée dans l'obscurité par endroits. Deux individus, un majeur et un mineur, étaient toujours en garde à vue samedi en fin de matinée à l'hôtel de police de Montpellier, a-t-on précisé à la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de l'Hérault. Un troisième a été relâché, la victime ne l'ayant pas identifié comme étant l'un de ses agresseurs présumés lors de la confrontation.
Cette jeune fille, en séjour linguistique avec un groupe d'une quinzaine d'Irlandais, a affirmé aux enquêteurs avoir été agressée par trois hommes, «deux l'ayant bloquée et un l'ayant agressée», après avoir perdu ses amis dans un mouvement de foule.
Pas de précision sur la nature de l'agression sexuelle présumée
Les services de police n'ont pas souhaité préciser la nature de l'agression sexuelle présumée. Les deux suspects nient les faits, a-t-on en revanche indiqué. Des analyses ADN étaient en cours samedi après-midi.
Le procureur de la République devait se prononcer samedi «dans l'après-midi» quant à un éventuel déferrement des deux agresseurs présumés devant un juge.
«L'analyse médico-légale opérée sur la jeune fille montre qu'il n'y a pas eu de coups portés à son encontre. Elle a pu se libérer de ses trois agresseurs présumés pour alerter immédiatement les policiers présents sur les lieux», a-t-on ajouté. «Ce qui ne veut pas dire, bien sûr, qu'elle n'a pas été agressée», a souligné la même source.
Environ 5 000 personnes ont participé à cet «apéro géant» autorisé par la préfecture et placé sous haute surveillance, un peu plus d'un an après une première édition, alors interdite, qui avait attiré 10 000 participants.
Une dizaine de fêtards fortement alcoolisés ont été pris en charge par les services de secours déployés sur place. La manifestation s'est terminée dans la nuit, vers 2 heures du matin. Une soixantaine de fonctionnaires de police étaient présents ainsi qu'un nombre équivalent de personnels de CRS et gendarmes mobiles. Une quarantaine de pompiers étaient également mobilisés, de même qu'une équipe de secours aquatique.
Arrêtés sur les indications de la jeune fille, ils sont accusés d'avoir pratiqué des attouchements sur la mineure vers 23h30 sur les lieux mêmes de l'apéro, la place de l'Europe, une grande pelouse plongée dans l'obscurité par endroits. Deux individus, un majeur et un mineur, étaient toujours en garde à vue samedi en fin de matinée à l'hôtel de police de Montpellier, a-t-on précisé à la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de l'Hérault. Un troisième a été relâché, la victime ne l'ayant pas identifié comme étant l'un de ses agresseurs présumés lors de la confrontation.
Cette jeune fille, en séjour linguistique avec un groupe d'une quinzaine d'Irlandais, a affirmé aux enquêteurs avoir été agressée par trois hommes, «deux l'ayant bloquée et un l'ayant agressée», après avoir perdu ses amis dans un mouvement de foule.
Pas de précision sur la nature de l'agression sexuelle présumée
Les services de police n'ont pas souhaité préciser la nature de l'agression sexuelle présumée. Les deux suspects nient les faits, a-t-on en revanche indiqué. Des analyses ADN étaient en cours samedi après-midi.
Le procureur de la République devait se prononcer samedi «dans l'après-midi» quant à un éventuel déferrement des deux agresseurs présumés devant un juge.
«L'analyse médico-légale opérée sur la jeune fille montre qu'il n'y a pas eu de coups portés à son encontre. Elle a pu se libérer de ses trois agresseurs présumés pour alerter immédiatement les policiers présents sur les lieux», a-t-on ajouté. «Ce qui ne veut pas dire, bien sûr, qu'elle n'a pas été agressée», a souligné la même source.
Environ 5 000 personnes ont participé à cet «apéro géant» autorisé par la préfecture et placé sous haute surveillance, un peu plus d'un an après une première édition, alors interdite, qui avait attiré 10 000 participants.
Une dizaine de fêtards fortement alcoolisés ont été pris en charge par les services de secours déployés sur place. La manifestation s'est terminée dans la nuit, vers 2 heures du matin. Une soixantaine de fonctionnaires de police étaient présents ainsi qu'un nombre équivalent de personnels de CRS et gendarmes mobiles. Une quarantaine de pompiers étaient également mobilisés, de même qu'une équipe de secours aquatique.
LeParisien.fr
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