Dépôt de plainte avec constitution de partie civile selon
extrait de la procédure
Dépôt de plainte avec constitution de partie civile selon
L'article L227-5 du code pénal
POUR RAPTE ET NON PRESENTATION D'ENFANT
L'article L227-5 du code pénal
Demandeur : sefca europe
Etat civil de Mr Lorentz Emeric
5 rue Théophile Leducq 93500 Pantin
Et de Mme Moreau Christel 5 rue
5 rue Théophile Leducq 93500 Pantin
Contre :
Le conseil général des hauts de Seines Mme Cezilly au Conseil Général du 92
Responsable est Mr Olivier Oger 18 rue des Bourets 92150 Suresnes
et Mme Jeanne Delpy adjointe au responsable Mr Olivier Oger
Mr Francis Painot 38 rue Raymond Patenôtre 78120
Association SEFCA
Europe
Pour Mr Lorentz et Mme Moreau
Mr Le Procureur de la république
5 rue Théophile leducq
T.G.I. De Bobigny
93500 Pantin
173 Av. Paul Vaillant Couturier
93000 Bobigny
Pantin le 20/03/2013
Lettre recommandée avec avis de réception N°
Objet : Dépôt de plainte avec constitution de partie civile
selon L’article L227-5 du code pénal
Madame, Monsieur, le Procureur de la République
J'ai l'honneur d'attirer votre attention sur les faits
suivants , aujourd’hui mercredi 27/02/2013, nous devions avoir une visite avec
tous nos enfants ,h ors l’Aide Sociale à l’Enfance de Suresnes dont le
responsable est Mr Olivier Oger 18 rue des Bourets 92150 Suresnes, et le
Placement Familial de Rambouillet dont le responsable est : Mr Francis Painot
38 rue Raymond Patenôtre 78120 Rambouillet, ne nous ont pas présenter nos
enfants «Amélie et Christian Lorentz » En conséquence, je porte plainte contre
Mr Francis Painot ; Mr Olivier Oger ;Mme Cezilly au Conseil Général du 92
service Famille et enfants et Mme Jeanne Delpy adjointe au responsable Mr
Olivier Oger .Plusieurs mains courantes ont été déposées contre ces
Deux services pour non représentations d’enfants.
(Pièce N° 1 main courante fait à Paris le 24/12/2006 ; Pièce
N ° 2 main courante du 19/03/2007 ; Pièce N° 3 main courante du 08/04/2007 ;
Pièce N° 4 main courante du 19/07/2008 ; Pièce N° 5 main courante du 04/04/2010
; Pièce N°6 main courante du 01/03/2011. Pièce N° 7 planning des visites du
C.G. 92
Nous bénéficions d’un droit de visite une fois par mois,
organisé par les services gardiens. Voir pièce N°8.
Nous disposons, de l’autorité parentale conjointe, nous ne
parvenons pas, en pratique à faire respecter nos droits.
Pièce N°9 photo prise lors
de notre dernière
visite le ……………………………………
Pièce N° 10 Preuve des
appels passer la veille
pour confirmer notre
présence pour voir
tous nos enfant……………………………………………………………
Pour mémoire :
L’article L227-5 du code pénal le fait de refuser indument
de représenter les enfants à la personne qui a le droit de les réclamer. Si les
faits durent plus de 5 jours que vous ne Savez pas ou se trouvent les enfants les peines sont
aggravées.
Viser par l’article 227-9 du code pénal le fait défini par
l’article 227 et 227-7 sont punis de trois ans d’emprisonnement et de 45 000
euros d’amende.
L’article 373-2-11 3° du code civil entrave à l’autorité
parentale.
L'article 371-4 du Code Civil prévoit désormais que l'enfant
a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants et que
seul l'intérêt de l'enfant peut faire obstacle à l'exercice de ce droit. Il y a
là une différence de taille.
L’article 371-4 du code civil, que vous appliquez également
à la grand-mère paternelle Mme Lorentz qui n’a toujours pas pu exercer son
droit de visite envers Amélie Lorentz voir les jugements du juge pour enfant et
de la cour d’appel de Versailles.
En effet, il existe plusieurs types d'enlèvements, d'arrestations ou
de séquestrations d'enfants. Ces infractions sont définies par les articles
224-1 et suivants du code pénal.
Il peut s'agir également de la soustraction d'un mineur par
un ascendant au sens de l'article 227-7 du code pénal ou même de la
soustraction d'un mineur sans fraude ni violence au sens de l'article 227-8 du
code pénal.
Article de Nancy FAULKNER,
PhD
pour l'associations
P.A.R.E.N.T. et les victimes de L'enlèvement parental
présentation le 9 juin
1999 devant le Comité de la Convention des Nations Unies des Droits de l'Enfant
par Mme Myriam FOURNIER.
(Note : en français
"Child abuse" peut apparaître sous diverses expressions telles que : "abus
le plus flagrant contre la personnalité de l'enfant", "viol de la
personnalité" ou encore "viol de l'enfant". Il est assimilé aux
sévices sexuels.)
Introduction
"A cause de ses
effets délétères sur les enfants, L'enlèvement parental peut être caractérisé
comme une forme de Child abuse" selon Patricia Hoff, Directrice juridique
du projet du barreau américain (Parental abduction Training and Dissemination
Project - American Bar Association on Children and the Law). Hoff explique,
"Les enfants qui ont
été enlevés par un parent souffrent émotionellement et parfois physiquement
entre les mains du parent ravisseur. Beaucoup de ces enfants entendent que
l'autre parent est mort ou bien qu'il (elle) ne les aime plus. Déracinés,
séparés de parents et amis, les enfants enlevés reçoivent souvent une nouvelle
identité par le parent-ravisseur et la consigne de ne pas divulguer leur vrai
nom et leur ancien domicile." (Hoff, 1997)
Précurseur dans le
relativement nouveau domaine de L'enlèvement parental d'enfant, la Dr. Dorothy
Huntington a publié un article en 1982, Parental kidnapping: A New Form of
Child Abuse (Enlèvement parental : une nouvelle forme de viol de l'Enfant.)
Huntington postule que du point de vue de l'Enfant, "enlever un enfant,
c'est abuser de lui". Selon Huntington, "lors de L'enlèvement d'un
enfant, l'Enfant sert d'objet ainsi que d'arme dans la lutte entre les parents.
Cette agression psychologique brutale détruit la confiance de l'Enfant dans le
monde qui l'entoure."
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