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La vie d’une famille victime des services sociaux.

La vie d’une famille victime des services sociaux.

 

Le livre d’un papy en colère
La vie d’une famille victime des services sociaux
A chacun son histoire !
Tous unis contre les abus du service social et de l’injustice.

Il y a un peu plus de 25 ans, même sonné, il est allé au bout de ses idées. En 2008, le SAEI l’a mis à terre au premier round.
Il est toujours là. Mais c’est du granit ce papy là.

(La famille d’un papy en colère)

Notre fils, né en 1979 se met en union libre en 2001 avec « Tati » sa compagne. Il s’installe à quelques kilomètres du domicile de ses parents. Sa fille aînée Camy naît le 20 juin 2002. Il perd son emploi et les grandes difficultés financières commencent. L’enfant est délaissé par ses parents, qui aspirent bien plus à s’investir dans les jeux vidéo. Mamie et papy sont souvent sollicités pour s’occuper de leur petite-fille et à faire la nounou. Vue les grandes difficultés de cette famille nous sollicitons l’aide d’une assistante sociale. Nous arrivons à convaincre notre fils et sa compagne à demander une mise sous tutelle. Ce couple était donc suivi par un service social, dénommé SAEI. (Malheur, pour aider nos enfants en difficultés, nous avons par mégarde fait entrer le loup dans la bergerie. Cette personne était loin d’être gentille. Cette personne a cherché à nous décrier, et à nous déshonorer. Pourquoi ? Qui sait ? On a des suppositions mais on ne va pas les étaler ici ils serviront le jour que cette dame voudra nous traduire en justice.)  La naissance d’Océ en 2003 et de Britty en 2006, les sœurs de Camy n’apportent pas de changement. Les relations avec la compagne de mon fils « étaient » bonnes. Elle nous racontait ses malheurs avec le service social, et les menaces de placement de la personne chargée du suivi en milieu ouvert. Une demande de notre part pour une audience auprès du juge des enfants est rejetée. La personne du SAEI ne jugeait pas utile « d’accorder » une rencontre avec le JDE. Le temps fait son œuvre et le couple en difficulté commence à se déchirer. La compagne de notre fils commence à boire, puis à pratiquer le changement de partenaire sexuel. Camy nous relate une situation bien délicate. « Mamie tu sais « Stéf » fait plein de bisous à maman. »


Quelques mois plus tard notre fils était seul. Sa compagne est partie un soir avec ses trois enfants. Elle devait être dans un état alcoolique vu le nombre de bouteilles d’alcool vides dans le logement. Nous avons appris qu’elle était partie avec un homme, dénommé « Gilbou »,  défavorablement connu des autorités et qu’elle connaissait que depuis 3 jours. Inquiet, je suis intervenue auprès du JDE pour l’aviser de la situation. Je suis dirigé vers la personne en charge du suivi en milieu ouvert. Ma démarche a eu lieu fin mai 2008 et notre rencontre avec cette personne a eu lieu le 3 septembre 2008. Pour cette personne du SAEI, il n’y avait probablement pas d’urgence pourtant la suite des évènements démontrera le contraire. La maman de nos petits-enfants a téléphoné à notre fils dans les jours suivants son départ. Elle voulait que ses enfants, qui demandaient de voir leurs grands-parents, soit en mesure de revenir régulièrement chez mamie et papy. Nos petites filles nous racontaient leur misère, leur peur, et nous faisaient part des menaces du nouveau copain de la maman. A défaut de contact avec « la référente en milieu ouvert » j’avise le JDE à plusieurs reprises. En août 2008, notre petite fille aînée se confie  à sa mamie. «  Mamie, Gilbou me touche en bas à la zézette » Mamie est abasourdie. Dans la soirée, Camy relate avec les mêmes mots la situation à sa tatie, qui avait mise en route sa caméra vu l’excitation de sa petite nièce. La vidéo est transmise au JDE avec une lettre. Ce dernier demande au procureur de la république d’ouvrir une enquête. Mais les enfants restent chez la mère en attendant. Les jugements et ordonnances qualifient les grands-parents comme étant problématiques !!!                     

« Un peu humour avant de lire la suite »
Attention, je crois que le papy est en colère.
Attendons un peu, je le connais, il va se calmer.
C’est un papy nounours, c’est un grand-père.
Dit lui « papy vos petits-enfants sont là », et il va se calmer
 

      Les rapports et allégations du SAEI et de l’ASE sans aucun droit de défense des grands-parents sont les éléments de cette mise en cause. Le JDE décide de placer les enfants en CDE sous la responsabilité de l’ASE le 20  janvier 2009, soit 5 mois après les faits d’attouchement. Pourtant le juge des affaires familiales avait ordonné une enquête sociale. Le résultat de cette enquête citait les grands-parents comme étant digne de confiance et préconisait un placement provisoire chez les grands-parents. Nous avions à ce moment, encore une bonne relation avec la mère de nos petits-enfants. Elle nous  informe qu’un droit de visite est soumis à une demande au JDE et à la référente de l’A.S.E. Nous expédions notre demande au JDE le 29/01/09. La référente est contactée par téléphone et une rencontre est organisée. La référente vient au domicile des grands-parents en février 2009. Avant de partir cette dame fait « miroiter » un droit de visite avant fin  mars 2009. Il faut laisser le temps aux enfants de s’adapter. C’était de la poudre aux yeux. Pas de droit de visite ni de téléphone. Suite à l’intervention du père, les grands-parents ont l’autorisation de transmettre des messages vidéo à leurs petits-enfants. L’achat et l’acquisition du matériel est immédiatement réalisé. Entre temps le papy intervient auprès des élus, du président du Conseil Général et auprès de madame Morano. Quelques dix semaines plus tard la réaction répressive de certains acteurs de l’ASE prend forme. Plus le droit aux grands-parents de transmettre une vidéo. Le jugement de juin 2009 donne à l’ASE le soin d’organiser les droits de visite des grands-parents. Contre toute attente l’ASE donne une autorisation de correspondance en lieu et place d’un droit de visite. Papy et mamie font transmettre leur courrier, une fois par semaine, par le papa à leurs petits-enfants, qui ne savent ni lire ni écrire. Une nouvelle réaction arbitraire de l’ASE prend forme, après 13 semaines de contact par courrier par l’intermédiaire du papa. Madame la référente intervient auprès du Directeur de l’Enfance Famille et Insertion (EFI) pour faire suspendre ce droit de courrier. Le Directeur de l’EFI,  impose aux grands-parents  de faire parvenir leur correspondance pour leurs petits-enfants au pôle ASE en charge du dossier. Depuis, c’est ainsi sans changement, sauf que le courrier est transmis avec 3 voire 4  semaines de retard à nos petites-filles. Le jugement de la cour d’appel en septembre 2009, autorise le père et la mère à faire une sortie et accorde 3 heures de  visite en lieu et place de 1 heure 30 par semaine. Avant la réception du jugement par les parents,  la référente définit à chaque parent les heures préconisées. Dans la semaine qui suit la première sortie de la maman avec ses enfants, un autre courrier de l’ASE fait annuler cette disposition. Un jugement du JDE arrive quelques jours plus tard. Les droits de sortie définis par la Cour d’Appel sont annulés par le JDE sur une demande par téléphone  de l’ASE. (C’est précisé sur l’ordonnance) La mère n’aurait pas respecté les règles de l’application de la sortie. Mais les droits de visite ne sont pas soumis à un changement. Pourtant la référente remet en cause ce droit que les parents ont acquis par le jugement de la Cour d’appel. Elle décide tout simplement de ramener le droit de 3 heures de visite à 1 heure 30 pour les deux parents. En janvier 2010 un nouveau jugement est ordonné par le JDE. Selon le rapport de l’ASE le juge accorde à la mère un droit d’hébergement à domicile une fois par semaine et un droit de visite au CDE une fois par semaine. Le père reçoit un droit de visite par semaine de 2 heures 30 au CDE avec l’autorisation de déjeuner avec ses enfants. C’est bien précisé sur le jugement « vu les rapports du service social….. » Donc c’est bien le service social qui demande au JDE d’appliquer deux poids et deux mesures. Où est l’égalité des parents dans cette affaire ? Comble de la situation, après deux sorties des enfants chez la mère, un autre jugement du JDE suspend les droits de visite de la maman, encore une fois «  vu des rapports de l’ASE…. » Manipuler des adultes de cette manière est choquant voire intolérable. Faire vivre ce genre de situation à des enfants devient une maltraitance institutionnelle

Hé !  Madame c’est pour vous. Le Jugement du 16 juin 2009 qui vous donne le droit d’organiser les visites avec nos petits-enfants.
J’en ai ma claque. Je n’ai plus le temps d’aller dormir au lit. Je dors au bureau. Où il est mon ordi ? On est quel jour ? Quoi ?
 On est déjà  le 30 avril 2010. !!! Mais c’est en juin 2009 que le JDE avait donné à l’ASE le droit d’organiser les visites entre les petits enfants et  les grands-parents. L’ASE a trop de travail, avec ces enfants placés, je pense que l’ASE nous a oubliés.

Bien que cette situation et cette façon d’agir de la part de certains acteurs de l’ASE soit signalée à madame Morano, secrétaire d’Etat chargée de la famille, au Conseil Général et aux 6 élus de la Moselle et au député Hénard de Meurthe & Moselle, qui suivent cette affaire, il semble que cette action soit tolérée voire même soutenue.
Le directeur de l’EFI l’a écrit. « Au regard des éléments en ma possession, le positionnement de l’ASE m’apparaît pleinement justifié. »
Il semble que monsieur le directeur de l’EFI soutien inconditionnellement ses services. Pourtant, les éléments en ma possession, dont il a connaissance et dont il ne tient pas compte, démontrent que 42 % des enfants qui ont effectué un séjour dans un CDE  vont devenir des sans abris, il faut y rajouter les « malades de l’affectif », et les sans famille, et ceux qui vont tenter de suicider. C’est vrai, ce ne sont pas les enfants ou les petits enfants de monsieur le Directeur, c’est donc moins grave.

Ce qu’il faut retenir à ce jour. Une enquête diligentée par le Juge des affaires familiales avait cité les grands-parents comme des personnes dignes de confiance avant le jugement de placement de janvier 2009. L’enquêteur avait préconisé un placement provisoire dans le foyer des grands-parents. L’article 375-3 du code civil donne au JDE le pouvoir de placer les enfants dans la famille de l’enfant. Mais certains acteurs du SAEI émettent ouvertement leur volonté de refuser un tel placement.
Dans cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, on peut légitimement penser que l’ASE impose à la justice ses prérogatives.
Le JDE précise dans chaque ordonnance ou jugement « vu des rapports de l’Aide sociale à l’Enfance ». Le JDE prend même des décisions sur appel téléphonique de l’ASE. Mais le comble, le JDE ne reçoit les grands-parents en audience que si travailleur du service social le demande.
En résumé, le service social décide de tout sans donner un droit de réponse et de défense à ceux qu’elle accuse. Cette nouvelle disposition de la justice a été instaurée par le service social et ceux qui soutiennent aveuglément cette institution.
« C’est l’ouverture de la boite de « Pandore. » Dans un avenir plus ou moins proche, vous les mamans allez accoucher dans une maternité spécialisée, votre enfant sera immédiatement récupéré par un service, comparable à l’ASE de nos jours. A Vous, les mamans de demain, les mamans de l’avenir, le papy dévoué que je suis, vous laisse le soin d’imaginer la suite de ce que peut devenir notre monde de demain.
Un conseil, sans vouloir cirer les chaussures des acteurs de l’ASE restez en bons termes avec eux, sinon comme nous les grands-parents, comme la maman et le papa de nos petits-enfants, vous aurez à subir leur foudre et leur  « Répression. »

Cette affaire n’est pas close, bien au contraire. Elle prend de l’ampleur, et chaque nouvelle erreur de l’ASE sera bien gardée.
En nouveauté : Depuis les nouvelles interventions au près des élus, notre courrier destiné à nos petits-enfants par mesure répressive n’est plus transmis depuis le 17 février. (Hé oui ! L’ASE a décidé de nous recevoir et nous entendre le 3 mai.) Le courrier sera bloqué pendant ce temps. Le 3 mai, l’ASE nous accorde un droit de visite d’une heure par mois. Comme la référente change d’avis comme de chemise, il faudra attendre un peu pour voir si le 19  mai nos petits-enfants auront l’occasion de nous revoir, et de profiter de notre affection.
 Et bien entendu, il faut aussi voir si ce droit de visite sera maintenu. Les Sénateurs ont été contactés. Une rencontre avec le Sénateur Masseret est programmée pour le 11 mai 2010. Le sénateur Longuet sera relancé avant la fin du mois de mai.

Le 19 mai 2010, mamie et papy ont rejoint le pôle ASE pour rencontrer leurs petits-enfants pour la première fois après 16 mois de séparation. Une retrouvaille avec beaucoup d’émotions. La joie des petits-enfants est indescriptible. Toutes les trois ont grandit. La benjamine, du haut de ses 4 ans se blottit dans le creux de l’épaule de son papy pendant un long moment. L’aînée des petites filles choisit la mamie, avec ses huit ans c’est un peu normal. La cadette va de l’un à l’autre et ne sait pas vraiment vers qui elle doit se tourner. Après quelques minutes d’hésitation, c’est le papy qu’elle choisit. Le papy se partage en deux pour les deux plus petites. Les petites filles ont un besoin de tendresse, c’est ce qui leur manque le plus dans un CDE. Les enfants ont des préférences et c’est leur droit. Ils ne sont pas des adultes. Mamie, après les premiers instants de joie, sert aux petits-enfants des gâteaux et des jus de fruits. Une demie heure après l’arrivée de mamie et papy, c’est le moment de retrouver les jouets favoris de chacun. Papy va à la voiture et ramène le chat « Moustache », le jouet préféré de Camy. Celui qu’elle a reçu pour Noël 2008. Il ramène aussi le cheval « Cool », le jouet préféré d’Océ et il ramène la poussette avec les poupées pour la benjamine. Le bonheur des petites filles est à son comble. Malheureusement, cette joie et le bonheur des retrouvailles ne dure pas longtemps  Une heure passe très vite, peut-être même trop vite. Il y a une « ombre noir » dans cette retrouvaille. Trois petites filles de, 8 ans, 7ans, et 4 ans, sont cantonnées avec mamie et papy et deux agents de l’ASE, dans un local de 3 m 50 sur 3 m 50 environ, avec une table ronde de 1 mètre de diamètre et 7 chaises. Sur un coté du mur il y a encore une petite maisonnette pour enfant de 1 m. Une salle de visite trop petite et très mal adaptée pour rendre une visite à des enfants. C’est encore une fois un mauvais point pour l’ASE. Cette visite donne l’impression de se trouver dans une prison.

La visite se termine au bout d’une heure et la séparation se fait mieux que l’on puisse l’imaginer. Les petits-enfants remontent dans le taxi qui les ramène au CDE sans trop de problèmes. La référente qui s’occupe de cette affaire fait comprendre à l’aînée des petites filles que la prochaine rencontre avec mamie et papy n’est pas encore programmée.

Mais bien qu’il y a maintenant un droit de visite accordé de la part du service social ASE, le droit de correspondance n’est pas rétabli, et un droit de téléphone encore bien moins.

Dans les semaines qui suivent un courrier de l’ASE fixe la prochaine rencontre entre les petits-enfants et les grands-parents au 6 juillet et une autre au 19 août.

Entre-temps, l’ordonnance du Juge des enfants en juin 2010 laisse apparaître un rétablissement des liens de la maman. Enfin une décision qui va dans le bon sens pour les enfants. Les grands-parents qui ont accompagné le père pour le soutenir pour cette audience difficile, ont la surprise du jour qui leur est annoncée par la référente de l’ASE de ce dossier. « La tante pourra accompagner les grands-parents dès la visite du 6 juillet. » Après 16 mois de « combat » apparaît un peu de bon sens dans les décisions du service social. Les enfants placés verront leur tante et marraine après plus de 17 mois de séparation. Mais cela fera aussi une personne de plus dans une pièce très petite. Tout doucement la famille paternelle reprend place auprès des enfants de leur fils. Mais quelles seront les séquelles de cette séparation ?

Le 6 juillet, est une nouvelle retrouvaille avec les enfants. Cette fois, il y a aussi la tatie, qui est aussi la marraine de la cadette. Lors de l’arrivée des trois fillettes, chacune se choisit son « préféré ». L’aînée se dirige vers la mamie, la cadette vers sa marraine et la benjamine vers son papy. Le premier moment passé, c’est la bise pour les autres. Mamie, tatie ou marraine et le papy se prêtent au jeu des enfants. Donner de la joie et de l’affection, c’est cela l’intérêt premier des enfants en difficultés. Une personne de l’ASE qui est elle aussi une maman est présente pour cette rencontre. Après avoir distribué le goûter, la dame qui est présente reconnaît le manque de place, surtout que chaque enfant veut reprendre son jouet préféré. Elle a des enfants et comprend rapidement que ce manque de place est mal adapté à la situation.
 
Elle décide vu une météo clémente d’installer tout le monde dans le jardin attenant. Une heure passe trop vite, et la séparation a lieu. Les enfants se reprennent à trois fois pour faire les bises. Un signe que la séparation est moins facile que la première fois. Mais le départ des petites filles se fait sans pleurs.

Le 19 août est aussi jour de fête pour la cadette. Elle a eu ses 7 ans quelques jours plus tôt. Cadeaux et goûter vont ensemble pour la troisième rencontre. Il y a aussi quelques surprises pour l’ainée et la benjamine pour ne pas faire de différence entre les filles et les blesser. Toute la rencontre se fait dans la petite salle en présence de la demoiselle en charge du suivi du dossier. Les petites filles jouent et profitent de chaque moment pour se faire cajoler soit par mamie, tatie ou papy. La benjamine veut faire un peu de tricycle. Elle a le droit de sortir dans le jardin avec son papy. Le point positif de la journée, la référente de l’ASE propose de faire une photo de toute la famille dans le jardin attenant avant la séparation. Il y a une ombre au tableau de cette journée. La plus grande partie de la visite a eu lieu dans la petite pièce.  
On peut supposer que les interventions auprès des élus auront probablement aidé à cette reconstruction des relations entre la famille paternelle et les enfants placés en CDE, suite aux nombreuses interventions du papy. En dernière réaction, Il y a une réponse du député Hénart et  du Sénateur Longuet avec une copie de la lettre qui leur a été adressée par madame Morano. Une lettre de la secrétaire d’Etat chargée de la famille identique dans tous les termes sauf le nom du destinataire. Dans cette réponse madame Morano donne de très bonnes explications avec référence de texte de lois. Malheureusement cela ne concerne que les parents des enfants placés ou en difficultés familiales avec les parents.  Aucune réponse des élus pour affirmer la place qu’occupent les grands-parents et la famille élargie auprès des enfants placés dans un centre pour enfants. La place des grands-parents et de la famille élargie ne semble pas être aussi importante pour les élus et la secrétaire d’Etat chargée de la Famille que ne le laisse apparaître les professionnels tel que les sociologues ou pédopsychiatres ou encore le conseil des ministres de l’Europe et la Commission de comptes.

La lettre du papy en colère destinée aux élus du 31 août 2010 avec toutes les explications sur le droit de visite et les difficultés que rencontrent ses visites, ainsi que les explications sur le droit de téléphoner, est claire. Trois extraits :

- « Une question simple, que vous voudriez bien poser à madame Morano.
Quelle place occupe les grands-parents et la famille élargie auprès des enfants placés ? »

- « Qui d’entre vous les élus et «exécutifs » seraient satisfaits d’une telle attitude de la part du service social ?
Monsieur le Sénateur Masseret  a lors de son apparition à Saint-Avold dans sa soirée des élections régionales laissé entendre « qu’il n’accepterait pas une telle situation ».
J’invite tous les élus à venir constater par eux même cette situation. »

- « Par votre statut d’élus vous êtes exclus des allégations et brimades du service social.
Laisserez-vous les enfants placés et les électeurs subir ce que vous ne risquez pas ?
Monsieur le Ministre Woerth devrait mieux que quiconque comprendre le danger des allégations. Et une telle pratique venant de la part d’un service social est d’autant plus grave et inacceptable. »

A ce jour les  grands-parents ne connaissent pas encore la date de la prochaine visite. Mais le 2 septembre se met en  place un processus de droit de téléphoner. Papy et mamie pourront téléphoner tous les 15 jours. Mais Tatie n’est pas autorisée à prendre contact avec les petites filles par téléphone. La référente de l’ASE qui s’occupe du dossier n’aurait pas transmis cette autorisation. Pourtant lors d’un appel téléphonique tout semblait réglé à ce sujet.

Est-ce un oubli ?

Le contact téléphonique entre la tatie et la référente de l’ASE du 14 septembre confirme que c’est un oubli. La tatie a le droit de téléphoner avec mamie et papy.

Une visite a lieu le 26 octobre, avec pour les petits-enfants des déguisements pour Halloween et d’autres petits cadeaux. Mais cette visite en présence de la référente de l’ASE a lieu dans le même local trop restreint.

Une autre visite est prévue pour le 23 décembre, et par rectificatif est ramenée au 22 décembre avec une possibilité de sortir avec les petits-enfants dans un lieu de restauration et de visite de Noël. Le temps de cette visite est ramené à 2 heures 30.

Quand ces petits-enfants pourront-ils avoir le droit de rendre visite à leurs grands-parents dans un endroit plus convivial ? C’est à dire au domicile de leurs grands-parents !!!!

Suite éditée au 11 février 2011 

Le 22  décembre 2010, mamie, tatie et papy sont à l’heure pour apporter leur affection aux trois petites filles placées  depuis presque 2 ans. La rencontre était programmée par la référente de 11h30 à 14 heures. Le taxi qui devait les ramener de Metz à Saint-Avold n’est arrivé que vers 11 h 45. Pendant l’attente, l’évaluation des possibilités de sortie a été soulevée. Un repas chez Mac-Donald, envisagé par les enfants, a été accepté. Le moment des retrouvailles était pour les trois petites demoiselles un instant de bonheur. Midi étant proche la référente a annoncé le départ vers le Mac-Do. L’aînée, Camy haut de ses huit ans, a demandé à la référente de l’ASE de pouvoir partir en voiture vers le restaurant avec papy. Surprise, bien qu’ayant retenu un véhicule de fonction, la référente a accepté. La cadette a dans la foulée souhaité vouloir, elle aussi, partir avec papy et mamie. La tatie et la benjamine, Britt, ont donc pris place dans le véhicule de fonction du Conseil général. Pour les enfants, bien entendu c’était une journée bien spéciale. Ce n’était pas le Mac-Do qui les intéressait le plus, mais les filles voulaient savoir si le Père-Noël avait fait une visite prématurée chez mamie et tatie. Le repas s’est passé dans une atmosphère libre, la référente a fait preuve de discrétion.
Pendant le dessert les fillettes ont été à tour de rôle vers mamie, tatie ou papy. Contrairement à l’habitude des demoiselles, la cadette s’est plus axée sur « les câlins de la mamie, la benjamine plus sur sa tatie, qu’elle reconnaît comme sa marraine bien qu’elle ne soit pas encore baptisée. L’aînée a cette fois été plus proche de son papy. Les Noëls précédents qu’elle a eu l’occasion de passer chez mamie et papy lui ont probablement réveillé les souvenirs de ces jours heureux dans un foyer familial. 

Comme les enfants voulaient savoir si le Père Noël était passé, papy a montré les photos du passage du Père-Noël avec la décoration et les cadeaux « emballés ». L’excitation à monté d’un cran. La référente a souhaité retourner au local du Conseil général de Saint-Avold afin de faire la remise des cadeaux. L’aînée est retournée dans la voiture de papy et la cadette est allée dans la voiture de la référente avec sa marraine  et sa sœur benjamine.
En arrivant, devant les bureaux de l’ASE, la marraine a demandé l’autorisation de mettre les cadeaux devant le sapin, qui majestueusement laissait miroiter ses lumières dans le couloir. Surprise, demande accordée. Pour une fois, il y avait de la place, et toute la famille n’était pas cantonnée dans une pièce trop petite. Les trois petites demoiselles ont été invitées par la marraine à chanté le cantique de Noël. C’était un moment crispant et lourd. Mais l’essentiel était là pour ces trois petites filles, qui laissaient éclater leur joie. Sur les cadeaux afin de ne pas se tromper, papy avait mis des photos. Chacune à pris ses cadeaux, celui du père Noêl de la marraine et celui du père Noël de mamie et papy. Le cadeau de la marraine a eu la primeur de la part de chaque demoiselle. Océ a été ravie de constater que le Père Noël de la marraine n’avait pas oublié son vœu. Son chien articulé marchait vraiment et en plus il aboyait. Elle a cajolé son toutou de près de 50 cm pendant un long moment. Britt avait souhaité un petit chat en souvenir de son chat, Princesse, disparu dans un accident de la route après son placement dans le centre. Elle avait dans son regard une expression qui ne laisse aucun doute sur sa joie. Son petit chaton blanc marchait lui aussi et il émettait un miaulement presque aussi parfait qu’un réel. Camy l’aînée voulait elle aussi un chat. Un chat qu’elle pouvait emmener au centre, parce que, Moustache, le chat qu’elle avait eu à Noël 2008 restait toujours chez sa marraine et papy le ramenait lors des visites. Elle avait aussi la réalisation de son vœu. Après un bon moment passé avec les cadeaux de leur marraine, les trois petites filles ont chacune déballé les cadeaux du père Noël des grands-parents. Papy, avec son désir de concilier jeu, attention et éducation a décidé avec mamie de prendre des cadeaux instructifs. Britt a déballé un tableau magique où elle pouvait utiliser des tampons et écrire ou dessiner en effaçant par un petit tour de passe-passe son tableau. Papy, lui, a apporté les explications. Attentive, elle a vite fait de comprendre. Elle passait son temps entre le tableau et son chat. Entre temps, la marraine a aidé sa filleule à déballer l’ordi pour enfant, elle lui a donné les explications nécessaire pour le faire fonctionner et effectué les exercices d’apprentissage. Papy lui est venu à l’aide de Camy. Elle avait eu de la part du Père Noël un ensemble de dessin pour confectionner des idées de mode. Elle a démontré en un bref instant son talent de dessinatrice. En quelques minutes,  son premier modèle en couleur faisait l’admiration de tous les adultes présents. Le temps passait malheureusement trop vite, et la séparation devait se faire. Bisous et au revoir, et encore bisous et au revoir, puis papy et marraine ont aidé les fillettes à charger leurs cadeaux dans le taxi qui devait les reconduire au CDE. Le départ a laissé quelques larmes dans les yeux de la marraine et tatie des trois petites demoiselles. Mamie et papy ne montraient pas leurs émotions.
La référente a démontré pendant cette journée qu’elle avait la possibilité d’être discrète. Plusieurs fois elle s’est éclipsée. Elle a démontré de la compréhension, en laissant les enfants devant le sapin, et joué dans le couloir où il avait de la place. Une fois les enfants partis, papy lui a fait remarquer que Noël 2011 pouvait être plus familial pour les petits-enfants. Pour cela il serait souhaitable que les filles passent au domicile de mamie et papy pour prendre les cadeaux. 
Quand ces petits-enfants pourront-ils avoir le droit de rendre visite à leurs grands-parents dans un endroit plus convivial ? C’est à dire au domicile de leurs grands-parents !!!!
Prochaine visite prévue le 10 mars 2011 de 11 h 30 à 14 h 30. (Il y a du mieux, mais c’est long et probablement très dur pour les petites demoiselles.)
A suivre………..

Suite éditée au 28 avril 2011  

A chacun son histoire.

Le 10 mars 2011, mamie, tatie et papy sont à l’heure au centre de rencontre de l’ASE. Une nouvelle fois le repas chez Mac-Donald, envisagé par les petits-enfants, a été accepté. Les trois petites demoiselles sont heureuses de retrouver papy et mamie. La tatie est en débat avec la référente de l’ASE ; dès la venue des enfants elles sortent aussi à leur rencontre. La référente demande aux enfants de ne pas lui faire la bise parce qu’elle est un peu grippée. Cela fait plaisir d’entendre que la référente donne un peu d’affection aux petites filles pendant les rencontres.
De suite c’est le départ vers le Mac-Do. L’aînée, Camy, souhaite pouvoir partir en voiture vers le restaurant avec papy. La référente ne s’y oppose pas. La benjamine, Britt, souhaite elle aussi partir avec papy et mamie. La tatie et la cadette, Océ,  ont donc pris place dans le véhicule de fonction du Conseil général. Pour les enfants c’est encore une journée bien spéciale.  Le Mac-Do les intéresse moins, elles attendent de parcourir les allées du CORA et de se faire gâter avec des petits cadeaux. Chaque demoiselle commande son plat préféré. Mamie part avec les deux plus petites prendre place à une table, l’aînée et papy vont avec la tatie pour ramener la commande. Le repas se passe dans une atmosphère libre, la référente a pris l’habitude de faire preuve de discrétion. Papy débarrasse les plateaux et toute la famille va faire un petit détour par le CORA. Chacune des demoiselles désire avoir sa préférence. Les bras se chargent et ces petites souhaitent encore plus. Papy met le « holà » chacune aura le droit de choisir trois petits cadeaux. Dans un contexte raisonnable. Barbie, et autres petits cadeaux s’amassent. Les fillettes sont raisonnables et choisissent sans excès. Arrivé à la caisse, la benjamine réclame des piles alcalines pour son petit chat reçu par le Père Noël et qui ne fonctionne plus. Papy va les chercher. Chaque demoiselle porte son sachet avec ses cadeaux et c’est la direction vers le centre du Conseil Général. Le couloir est occupé. L’après midi se termine dans la petite salle de l’ASE. La référente s’est éclipsée, il semble que les visites deviennent un peu plus familiales. Les enfants déballent leurs cadeaux, mamie, tatie et papy les aident, et les trois demoiselles se donnent de la joie. Mais comme toujours, le temps passe un peu trop vite. Un peu après 14 heures la référente revient et c’est le départ. Afin de ne pas trop brusquer la séparation, les enfants sont invités à prendre les flacons de bulles de savons afin de faire des bulles devant la porte. Mamie et papy font les bisous et avec de la peine partent en laissant les enfants faire des bulles. C’est difficile, c‘est la première fois que les adultes quittent les enfants, et ce n’est pas les enfants qui partent en premier. En quittant le lieu de stationnement du « dépôt » du Conseil Général de la Moselle à Saint-Avold, la mamie et papy jettent un dernier regard vers leurs petits-enfants, il semble que la résignation s’installe auprès des enfants et des adultes. L’habitude prend sa place. Heureusement la tatie part en dernier, ce qui distrait un peu les petites filles, et fait le départ moins difficile pour les grands-parents.
Pendant les semaines qui suivent, c’est le contact téléphonique tous les 15 jours pendant environ une demi-heure qui va rythmer les relations entre les petits-enfants, les grands-parents et la tatie. Au dernier contact, la cadette annonce que son évaluation à l’école à baissé, elle n’est pas encore en mesure d’expliquer les raisons de la chute de ses résultats. C’est pareil pour tous les enfants qui retrouvent des difficultés dans les études, que ce soit un enfant placé en institution ou au contact journalier avec ses parents et sa famille. Mamie, marraine et papy la rassure, ce n’est probablement qu’une baisse passagère de son attention qui est en cause. L’aînée affirme se sentir bien à l’école, mais est punie à cause de ses pertes d’affaires scolaires. Il semble bien que la présence des grands-parents comme si souvent pour l’aide aux devoirs et les conseils d’attention sur ses affaires est un manque pour ces petites demoiselles. La benjamine, à chaque contact téléphonique demande si papa est là, elle n’oublie pas de demander si mamie et papy ont des nouvelles de sa maman.

Les grands-parents ont une place bien définie au sein de la famille, et lorsqu’un élément vient perturber cette relation enfants-grands-parent c’est tout un système d’éducation qui souffre et perturbe l’évolution des enfants. Il semble que le service social, et surtout l’ensemble des élus législateurs ont une méconnaissance totale d’une telle situation. On peut supposer que dans l’âme des personnes du service social et des élus  il n’y a pas de place pour la compassion, la compréhension et la reconnaissance que l’autre existe ; bien que nous les grands-parents remarquons une amélioration des relations entre la référente de ce dossier et nous. La demoiselle référente a plus d’affinités avec la marraine et tatie des petits-enfants qu’avec leurs grands-parents. Ce qui est une normalité, l’âge a sa place dans le relationnel, c’est pour cette raison que les grands-parents n’ont pas besoin d’user d’une grande autorité pour se faire entendre de leurs petits-enfants.

Un courrier en date du 8 avril 2011 annonce la prochaine visite aux petits-enfants pour le 3 mai. La régularisation des visites tous les deux mois environ se concrétise, en contre partie cette visite est étalée sur 3 heures avec un repas entre midi. C’est peu, mais apporte une relation continue entre les petits-enfants et leurs grands-parents.

 

 

Suite éditée au 30 juin 2011  

A chacun son histoire.

 

Le 3 mai 2011, mamie et papy sont au « dépôt » du Conseil Général avant l’heure pour le rendez-vous, tatie arrive peu après et comme à son habitude va converser avec la référente du dossier. La référente et la tatie étant de la même génération le dialogue est plus ouvert. Mamie et papy restent à l’extérieur. Au bout de quelques minutes la demoiselle de l’ASE vient voir les grands-parents et leur apprend que le taxi sera en retard. Elle prévoit la venue de petites filles vers 12 heures 15. Mamie et papy vont se promener un peu en attendant et la tatie part avec la référente pour son entretien habituel. Les petites demoiselles arrivent vers 12 heures 30. Elles se ruent sur mamie, la cadette vient en premier lieu vers son papy. Et c’est le moment des bisous pour tous. Après les premières minutes de « tendresse et d’affection »  c’est comme d’habitude, sur désir des petites fillettes c’est le départ pour le Mac Do. Camy et la benjamine Britt vont avec mamie et papy, la cadette va avec sa marraine avec la référente de l’ASE dans le véhicule du Conseil Général de la Moselle. Au Mac Do, Britt ne lâche pas sa tatie d’une semelle. Le repas se passe dans une ambiance de joie pour ses nouvelles retrouvailles. Camy se met entre la mamie et le papy, Britt reste près de la tatie et la cadette Océ se positionne entre la tatie et la demoiselle de l’ASE face aux grands-parents. On constate que les trois petites demoiselles ont un grand besoin de dialogue. Et on remarque nettement que « la pipelette » de ces trois demoiselles est bien plus déliée face à tatie et aux grands-parents que lors des contacts téléphonique. La glace termine le repas et tout le monde se retrouve au Cora pour une nouvelle expérience de shoping. Papy met les pendules à l’heure. Aujourd’hui c’est le jour de joindre l’utile à l ‘agréable. Un article par fillette, mais un article utile. Camy souhaite des écouteurs pour son MP3, et sa tatie l’emmène dans le rayon adapté. Toute heureuse d’avoir son écouteur elle suit les autres sans rechigner. Tatie laisse Océ et Brit choisir un article de sa part. Les deux fillettes optent pour une brosse à cheveux. C’est le tour du choix pour les objets utiles de la part du papy. La cadette se réserve le droit de prendre un teeshirt, l’aîné et la plus petite préfèrent prendre un ruban pour les cheveux. Océ a son idée précise, elle veut son teeshirt avec une image de Rayponce. Le teeshirt est bien là, mais sa taille n’est pas adaptée. On constate un dépit prononcé de la cadette qui fait acte de comédie désappointée. En dernier ressort elle opte pour une casquette de Rayponce, papy lui a promis de prendre le teeshirt dès qu’il le verra. L’aînée qui avait déjà pris son ruban à cheveux désir le reposer pour prendre elle aussi une casquette. La benjamine garde son ruban. Toute la famille passe à la caisse et prend la direction du local ASE. C’est le moment de la séance photo, de l’affection et de tendresse. Chacune se décide d’aller vers l’un ou l’autre des adultes selon que ses sœurs occupent la place disponible. Le seul inconvénient est le manque de place dans cette salle de 3 m 50  sur 4 m environ. Vers 15 h 30 c’est le départ pour les petites demoiselles. Bisous et accolades et installation dans le taxi. Les petites filles demandent encore un bisou du papy, le chauffeur d’un âge sénior respecte toutes les formalités d’au revoir. La référente de l’ASE n’intervient pas. On constate vraiment que les relations entre le service social et les grands-parents se « formalisent ». Deux ans pour arriver à mettre en place une attitude respectable pour toutes les parties. Les seuls qui subiront des conséquences seront ces trois petites fillettes, et cela ne pourra se voir que beaucoup plus tard. Pour le moment la fratrie commence à souffrir, la séparation des enfants entre eux et des enfants de la famille apporte un réel conflit entre les enfants.
La présence des grands-parents et de la tatie apporte à chaque fois un peu de chaleur et de cohabitation entre ces petites fillettes qui manquent de tendresse et d’affection, le service social les pousse à s’autogérer et à devenir adultes trop vite.
Tatie, mamie et papy se consacrent selon les possibilités qui leurs sont accordées à offrir à ces trois petites demoiselles leurs présence, leur soutien et leur aide avec toute l’affection et tendresse dont ils disposent.

Le 8 juin une lettre du CDE nous informe que les prochaines visites avec nos petits-enfants se feront le 19  juillet et le 29 août 2011. A voir si ces dates seront maintenues.

Une nouvelle audience auprès du JDE pour les parents aura lieu le 11 juillet  2011. Les rapports du service social seront comme toujours à l’origine de la décision du JDE. Il reste maintenant à prendre connaissance de l’ordonnance qu’apportera le JDE afin de voir si le service social confirme une normalisation des relations entres les enfants et leurs grands-parents et tatie ou si la situation  « formalisée » pour ses relations sera restreinte avec un rapport comme à l’habitude en défaveur des grands-parents. Nous avons l’habitude du double langage du service social, et nous nous attendons à ce que cette attitude perdure.

A suivre…….  

   http://grandsparentsencoler.voila.net/A_chacun_son_histoire.html



24/07/2011
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