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Sénégal : Un psychiatre préconise un dépistage précoce chez les femmes enceintes

 

Sénégal : Un psychiatre préconise un dépistage précoce chez les femmes enceintes.

Les psychiatres sont de plus en plus fous. Je dirais même que ce sont des assassins car devant le refus de l’Europe de vouloir faire un dépistage psychiatrique chez les enfants, ils se tournent vers l’Afrique pour proposer quelque chose d’encore plus grave : le dépistage chez la femme enceinte.  Houaaa ! ils prennent vraiment les Africains pour des idiots.

En Afrique la manière de soigner n’est pas la même qu’en Europe et nous devons respecter cela, d’autant plus que nous n’avons vraiment pas à être fiers de la façon dont nous traitons nos « malades mentaux ».

Amis sénégalais, la psychiatrie ne fait que détruire les hommes dans nos pays « civilisés »,  alors ne faites pas les mêmes erreurs que nous. La psychiatrie n’est pas une science et si vous regardez ce site vous verrez que sous de belles paroles, ils ne font réellement que détruire.

Le Webmaster  

Sénégal: Déficience intellectuelle – Un psychiatre préconise un dépistage précoce

Dakar — Le médecin-chef de l’unité psychiatrique de l’Hôpital Fann, Amadou Makhtar Seck, a préconisé, jeudi à Dakar, un dépistage précoce chez la femme enceinte et l’enfant, en vue de prévenir la déficience intellectuelle.

« Dès qu’on soupçonne un élément qui peut être un indice de déficience, il faut amener l’enfant en consultation chez le spécialiste qui fera un examen aussi minutieux que possible et essayera d’appréhender le niveau intellectuel », a-t-il recommandé, lors d’une conférence sur le thème de « la déficience intellectuelle ».

Devant l’auditoire venue participer à cette rencontre organisée par l’Association sénégalaise pour la protection des enfants déficients mentaux (ASEDEME), il a rappelé qu’il est possible d’appréhender le niveau intellectuel grâce à l’étude du quotient intellectuel.

Selon lui, on peut ainsi catégoriser les enfants déficients mentaux. « Il faut un interrogatoire minutieux, parce que tout est important étant donné qu’on doit chercher les causes de la déficience. Quand l’enfant arrive à l’adolescence ou à l’âge adulte, la cause est dite, parce que les parents ont des souvenirs très fugaces de ce qui s’est passé à l’enfance », a expliqué le psychiatre.

Selon le médecin chef de l’unité psychiatrique de l’hôpital de Fann, quand l’enfant est traité très tôt, cela peut aider à identifier la cause de la maladie.

« Il faut une prise en charge précoce en commençant par la femme en grossesse et en poursuivant par les enfants qui vont naitre. En effet, c’est dans la prise en charge précoce qu’on peut aider les familles à mieux gérer ces problèmes de santé mentale et surtout à mieux prévenir les problèmes de déficience mentale », a-t-il insisté.

Le psychiatre a invité les Sénégalais à prévenir la naissance des enfants souffrant de déficience intellectuelle en veillant au suivi régulier de la grossesse et en évitant les mariages consanguins chez les jeunes.

Il a aussi encouragé la création de centres pour les déficients mentaux, tout en appelant à favoriser la scolarisation et la formation gratuite des enfants souffrant de cette maladie.

Pour le psychiatre, l’Etat doit rendre opérante la politique de santé mentale. « Si tout est mis en oeuvre dans ce but, on peut arriver à des résultats positifs et concrets », a-t-il estimé.

Le Sénégal forme de plus en plus des spécialistes dans le domaine de la santé mentale aussi bien au niveau des spécialistes psy. La discipline psy attire de plus en plus de jeunes. Maintenant, on a beaucoup d’étudiants qui veulent justement se spécialiser dans ce domaine », a-t-il révélé.

Selon lui, pour les anciennes générations comme la sienne, le nombre de pensionnaires de cette discipline ne dépassait guère trois étudiants.

« Maintenant, on a pratiquement une trentaine d’étudiants qui veulent se spécialiser. Même d’ailleurs des autres pays, le Maroc, la Tunisie, nous viennent des étudiants qui veulent se former en psychiatrie », s’est il félicité.

« Au niveau de l’ENDSS, on forme des infirmiers, des éducateurs spécialisés et là aussi, ça contribue un peu à augmenter les ressources humaines dans ce domaine », a poursuivi le psychiatre



10/03/2011
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