Soutien à l'enfant drogué au Risperdal et enlevé à sa mère par le DPJ.
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA RÉPUPLIQUE ALGERIENNE ABDELAZIZ BOUTEFLIKA Votre excellence, Monsieur le Président, 1) Ceci est un cri de cœur, un appel à l’aide d’une maman, citoyenne Algérienne, Ingénieure, résidant à Montréal. Je suis arrivée au Québec à l’âge de 22 ans, diplômée de l’École Polytechnique, un M.Sc.A, puis de l’université de Montréal, un Bac en Informatique et Recherche Opérationnelle. J’ai travaillé en 1997 au cabinet de son excellence, M. l’Ambassadeur d’Algérie à Ottawa, depuis, j’ai occupé différents emplois dans mon domaine; 2) Voilà 7 ans que je suis aux prises avec une nébuleuse, ‘’le rapt’’ de mon unique enfant, Mehdi par les services de la protection de la jeunesse du Québec appelés communément ‘’DPJ’’, ainsi qu’avec certaines irrégularités relatives au processus d’accès aux tribunaux du Québec en violation de mes droits fondamentaux et ceux de mon enfant quant au traitement auquel je suis en droit de m’attendre de la part du système judiciaire au Québec, Frappée de violence institutionnelle je me vois tout simplement refuser l’accès au système légal dans les tribunaux d’instance et de grande instance du Québec, ‘’Le Bâillon’’; 3) Ceci est un cas d’espèce, mon enfant m’a été retiré injustement et confié au père à un âge crucial de son développement, à 4ans et demi, L’enfant soumis sur le long terme à de fortes médications ‘’psychotropes’’ ’’a perdu l’usage du langage’’, rendu aujourd’hui 11 ans dans un état d’extrême gravité, son développement gravement compromis. Une judiciarisation injustifiée par la Cour du Québec; 4) La Requête en protection de la Direction de la Protection de la Jeunesse faisant abstraction de toutes dispositions prévues par la Loi de la Protection de la Jeunesse en l’espèce l’article 46; 47.2, favorisant les moyens et mesures aux fins d’entente avant de saisir la Cour du Québec, subséquemment, le régime de la preuve en terme de Loi sur la protection de la jeunesse , ‘’la prépondérance’’, le DPJ n’ayant rien à offrir a transgressé impunément la décision de la Cour Supérieure de manière abusive, excessive et outrageuse au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant; 5) La DPJ n’avait aucune raison de rentrer dans ma vie, Il n’y a rien dans la présomption de faits qui justifierait la modification du jugement de garde de la cour supérieure, L’enfant avait au mieux de ses intérêts un milieu stable et sécuritaire, entouré de beaucoup d’amour avec l’aide précieuse de sa grand-mère. Mère, indemne de tout reproche; 6) Voilà des années que j’assiste impuissante à la destruction systématique de mon enfant que je vois sous supervision 30 minutes par mois, toutes tentatives pour lui venir en aide sont demeurées vaines; 7) L’enfant est maintenu sous contention chimique (on le bourre de psychotropes pour qu’il reste tranquille) ! et ce malgré l’avis de nombreux professionnels impliqués dans le dossier, témoignant non seulement de l’inutilité d’une telle mesure, mais également son effet extrêmement néfaste pour le développement de l’enfant, qui vit une telle situation depuis l’âge de 4 ans et demi et qui en a aujourd’hui 11, pour qui je crains sérieusement pour sa vie tant physique que psychologique; 8) Mon fils a été soustrait de son environnement naturel affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement éducatif spécialisé, incompatible avec son état réel, en plus de lui causer un traumatisme émotif de par la séparation avec ses figures significatives, moi, ainsi que sa grand-mère, traumatisme qui fut « géré » par voie de contention chimique ‘Risperdal‘’ 9) Par la suite, le père a eu un nouvel enfant avec sa nouvelle conjointe et ne désire plus avoir la garde de l’enfant. Plutôt que de reconfier l’enfant à son milieu familial original, d’où il n’aurait jamais dû sortir, il a été plutôt envoyé avec les déficiences intellectuelle (CRDI) alors qu’il est gavé de psychotropes qui le rendent dans un état de légume ambulant, histoire de contenir la rage et la détresse qu’il tente d’exprimer face à la situation intolérable qu’on lui fait subir; 10) Mon enfant avec toutes ses facultés cognitives a été contraint d’évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une clientèle lourdement handicapée mentalement, de surcroit Abusé sexuellement et coupé de tout lien affectif et familial significatif. Imaginez les effets que cela suscite non seulement sur son développement cognitif, sur le frein que cela peut mettre dans la réalisation de son plein potentiel, mais surtout le malaise et l’inconfort qui n’ont eu d’autre choix que de s’exprimer à travers la colère face à une telle atteinte à son propre développement personnel, vous comprendrez le désespoir que tente d’exprimer cet enfant à travers ses crises, crises que la DPJ a choisi de réduire au silence par une camisole chimique plutôt que de reconnaitre ses erreurs et agir dans le bien de l’enfant en le retournant dans son véritable milieu familial; 11) Tous mes efforts pour venir en aide à mon enfant sont demeurés vains .Un appel sur décision rendue par la Cour du Québec interjeté le 10 juin 2009 est demeuré bloqué 2 ans en Cour Supérieure, L’enfant privé de ses figures significatives, soumis à de fortes médications ‘’Risperdale + Épival’’ a perdu l’usage du langage en 2010; s’en est suivi une requête incidente du DPJ pour me bâillonner, et faire déclarer l’acte de procédure d’appel manifestement mal fondé, demandant à la Cour Supérieure de m’interdire de déposer toute procédure de nature civil ou pénale, sans l’autorisation écrite du juge en chef, je me vois tout simplement refuser l’accès au système légal des tribunaux d’instance et de grande instance du Québec; 12) Rien n’a été fait pour le bien, la protection et la sécurité de mon enfant pour faire cesser la grave compromission de son développement Parce que je crois au potentiel de mon fils, j’ai tout perdu, mes attributs parentaux et l’enfant régresse jusqu’à un état de marasme qui risque de devenir irréversible à partir du moment où il ne réagira plus physiquement face au dénigrement de son réel potentiel qu’il subit depuis 2008 et à trop de médication dans un unique but de contention chimique. Il est clair que ces problèmes de comportements sont ses derniers cris de survie afin que quelqu’un puisse entendre enfin sa détresse et ses besoins fondamentaux qui doivent être comblés rapidement pour réenclencher sa capacité adaptative et rattraper ainsi le retard qui lui a été imposé depuis 2008; 13) Une affaire sordide endossée par de nombreux intervenants publics, le DPJ a recommandé le placement de l’enfant à majorité, de confier l’autorité parentale au père qui a décidé de le garder dans « un statut d’inapte », à l’évidence pour user de contention chimique et ne pas perdre la face, décision du DPJ qui tente depuis des années de m’exclure de la vie de mon fils, occultant ainsi toute la détresse de l’enfant depuis qu’il a été confié au père en 2008; 14) Mehdi, un enfant magnifique (voir vidéo) qui faisait des progrès considérables de langage et communication à 3 ans, est rendu aujourd’hui 11 ans dans un état chaotique, ne sait ni lire, ni écrire, ne reconnait même plus les couleurs, pas de perspective académique!, gardé sous contention chimique, privé des personnes qui lui sont significatives, déplacé de maison d’accueil en foyer de groupe sans que je sache où se trouve mon enfant, endroit gardé secret, en violation de toutes les Conventions Internationales de l’ONU des Droits des Enfants, du Traité de Rome sur la Torture, ratifiés par les États membres dont le Canada; 15) Votre excellence Monsieur le Président, J’ai frappé à toutes les portes au Québec pour demander de l’aide pour délivrer mon enfant de ce marasme, sans succès, je me suis épuisée financièrement à date, je suis à 170 000$ de frais d’honoraires d’avocats, je n’ai plus les moyens pour lutter, la situation de mon enfant est très grave et urgente, les responsable de ce drame se mettent la tête dans le sable et souhaiteraient clore définitivement le dossier devenu trop compromettant, je crains le pire pour mon fils; 16) Je me suis retrouvée seule à confronter cette nébuleuse, depuis des années, j’assiste impuissante à la destruction systématique de mon enfant; Mehdi, a servi de cobaye à la psychiatrie au Québec, sous-couvert de la Direction de la Protection de la Jeunesse, 17) Votre excellence, Monsieur Le Président, j’en appelle à l’aide, au soutien de notre gouvernement pour délivrer mon petit enfant, Mehdi est Algérien, il a besoin d’intervention urgente avant qu’il ne soit trop tard : Si rien n’est fait, Mehdi risquera de finir le restant de ses jours enfermé dans une institution sous contention chimique; ce petit enfant est victime de stratégies démoniaques, d’abus de la psychiatrie, j’implore Dieu tout puissant pour lui venir en aide, Dans l’attente d’une écoute attentive, recevez votre Excellence, mes respectueuses salutations; Et j'ai signé à Montréal le 3 Mars 2015 Amal Bouchentouf, Mère de Mehdi
NB : Une lettre a été envoyée à Monsieur l’Ambassadeur d’Algérie à Ottawa Et Monsieur le Consul Général d’Algérie à Montréal Voir vidéo de l’enfant, avant versus médication et coupure de contact avec ses figures significatives : http://youtu.be/gn9T1HwjFNY https://www.facebook.com/…/a.709173095830705.1073741851.645… 03873/709174015830613/?type=1&theater https://www.facebook.com/video.php?v=171202709740790&set=vb.146487185545676&type=2&th eater https://www.facebook.com/…/a.679399782141370.1073741848.645… 03873/679399875474694/?type=1&theater https://onedrive.live.com/edit.aspx…
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