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Fondation Princesse de Croÿ

La Fondation Princesse de Croÿ est née à Bruxelles en 2001, d’un jardin d’enfants qui sera réduit en ruines par la branche d'un réseau pédocriminel dirigé par un contacte d’Annie Bouty, compagne de Nihoul du réseau Dutroux. Polices, services communaux, régionaux, judiciaires, sociaux, administratif et de la protection de l’enfance, ministère des affaires étrangères, centre anti-raciste et même Child Focus, avaient failli ou refusé toute intervention pour secourir six enfants nigérians qui avaient été kidnappés,  empoisonnés, torturés et emmenés dans des bordels. La Belgique aura violé au moins trente-deux articles des conventions européennes, dont en premier le droit à la sécurité des personnes.

Le père des enfants, qui avait un pied dans la tombe faute de secours, s’était  retrouvé en prison durant deux mois, victime d’une "erreur judiciaire" de la police fédérale qui avait été chargée de démanteler le réseau (arrestation arbitraire).  Les parents des autres élèves, terrorisés par le refus d’assistance des services sociaux, malgré les certificats médicaux qui démontraient les traces de tortures et l’ordonnance d’un juge de la jeunesse, désertaient l’école qui dut être fermée. Comme pour cacher sa responsabilité du au refus de secours, les services régionaux de l’aide à l’enfance (ONE) et la commune, décidèrent de fermer l’école déjà fermée, entre autre au motif du placement judiciaire des enfants victimes chez la princesse de Croÿ, directrice de l’école. (Violations des droits fondamentaux à l’égalité et au respect de la vie privée.) Les enfants lui seront ensuite enlevés avec violence et en violation d’une douzaine d’articles de la convention des droits de l’enfant, et enfermés dans un orphelinat, avec interdiction de la revoir, séparés de leurs parents depuis 2002 sans justificatif valable.

La presse faisait croire qu’il n’y avait ni réseaux, ni maffia en Belgique. De dits "activistes" de la protection de l’enfance, faisaient croire qu’il n’y avait pas, ou plus une seule organisation belge qui s’occupait de l’assistance aux victimes de la traite. La Princesse Jacqueline de Croÿ, stupéfaite du racisme justifiant le défaut d’assistance, décida d’offrir les armes de sa famille et de consacrer le reste de sa vie au service de la lutte contre la traite d’enfants, entre autre par le droit sacré à l’information.

Ce n’est qu’alors, qu’elle rencontra les activistes du Werkgroep Morkhoven, découvrant avec stupéfaction que le déni de ses droits fondamentaux et de ceux des enfants, était une généralité réservée aux victimes et témoins de réseau alliés à Nihoul. Il en résulta une association de faits explosive, principalement dédiée à la diffusion de l’information.

Depuis, comme les autres activistes, elle subit toutes les violations de conventions européennes possibles, par le biais de manœuvres de la justice et l’administration qui depuis six ans, lui imposent : la destitution de ses droits sociaux dont à l’accès au soins de santé ; cinq  mois de coupure d’électricité, suivie de coups et blessures de l’ombudsman du monopole de la distribution d’énergie, suivis de trente et un jours de coupure de gaz, etc.

Renforcée par un millénaire de tradition guerrière, elle s’emploie imperturbablement a diffuser l’information, construire une base de données sur le réseau Zandvoort et cimenter les activistes intègres qu’elle croise en Belgique et en  Europe, formant une union solide comme du roc, dédiée à la lutte contre la traite d’enfants.

Neuf sites Internet et des centaines de dossier de la fondation ont été détruits depuis 2003. Le premier fut détruit suite la publication du dossier d'un magistrat français déculotté alors qu'il abuse d'un enfant de 11 ans, mais officiellement en raison de "moqueries aux services secrets belges".

Le dernier site fut cadenassé par Microsoft le 16 mars 2007 "en l'attente d'une éventuelle enquête", suite à la publication d'une nouvelle en provenance de la presse roumaine qui avait intitulé son article "aide fictive aux enfants disparus", relatif à des fraudes de subsides de la CEE dans un projet Child Focus.



25/07/2011
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