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L'Affaire Camille

 

 

L'Affaire Camille

SUJET: AFFAIRE HERMIL LEBEL ET LES SORT DES PÈRES DE FAMILLE AU QUÉBEC

Gatineau, le 14 mai 2002

Madame Linda Goupil
Ministère de la Famille et de l'Enfance
1122, chemin Saint-Louis
3e étage
Sillery (Québec) G1S 4Z5

Monsieur Paul Bégin
Ministre de la Justice
2750, chemin Sainte-Foy
Bureau 251
Sainte-Foy (Québec) G1V 1V6


Madame Goupil et Monsieur Bégin,

Un homme est présentement incarcéré pour avoir voulu parler à ses enfants. Son nom, Hermil Lebel.

Son crime: être père de famille dans une société où tolérance-zéro rime avec intelligence-zéro. Son crime: avoir voulu parler au téléphone à ses enfants qu'il n'a pas vus depuis plusieurs mois à cause d'une mère "paranoïaque" qui utilise l'article 810 du code criminel quand bon lui semble.

En matière familiale, le gouvernement est prompt à jeter les honnêtes gens en prison sur simple dénonciation à la police et invocation de l'article 810 du code criminel.

Qu'arrive-t-il aux pères de famille reconnus non-coupables lorsqu'ils sortent de prison? Quelle aide existe-t-il pour les non-coupables ayant été humiliés publiquement, devant leur communauté et leurs enfants? Qui aide le milieu à accepter un ex-prisionier non-coupable? Quelle compensation leur est versée pour leur avoir volé une partie de leur vie, au père et aux enfants? Pourquoi en sommes nous rendus là en matière familiale?

Le gouvernement est aussi prompt à imposer des mesures de recouvrement lorsque la pension alimentaire est impayée, mais est plus lent que de la mélasse en hiver (figure de style) lorsque vient le temps de faire respecter les jugements de garde. Monsieur Lebel avait droit de voir ses enfants avant que Madame bloque l'accès par des procédures abusives.

Madame et Monsieur, je vous pose la question: pourquoi est-il plus important que les pensions alimentaires soient payées que les droits de visite et de garde soient respectés? Pourquoi une telle incohérence, une telle différence dans l'application de la Loi?

Je vous suggère de modifier les lois afin qu'aucun doute ne subsiste dans la tête des parents "gardiens" et des mères de famille en particulier: le non respect des droits de visite et de garde seront punis avec autant de vigueur que le non-respect du paiement de la pension alimentaire.

Je vous suggère aussi de mettre des dents à la Loi pour que les accusations non-fondées soient punies, afin de décourager les fausses accusations qui entachent le système et qui nuisent aux accusations fondées. Il est trop lourd et trop coûteux pour les personnes faussement accusées d'entreprendre des procédures pour obtenir réparation, la loi doit prévoir un mécanisme automatique de compensation et réparation des torts. Vous savez pertinemment par les gens de votre entourage travaillant dans vos bureaux à quel point certains pères de famille sont lavés par le système de "justice familiale" et ne peuvent pas entreprendre des procédures coûteuses de répération.

Qui redonnera à "Justice Québec" et au ministère de la "Famille" leur vrai sens (famille=père+mère+enfant)? Qui cessera de faire croire qu'une famille est composée d'un payeur de pension et d'une mère "mono-parentale"? Et depuis quand les enfants ont un mono-parent?

Le VRAI pouvoir n'est pas de laisser la justice suivre son cours mais bien d'INTERVENIR quand elle dérape.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.


Martin d'Anjou
Directeur
Entraide Pères-Enfants Séparés, Gatineau
Point d'Aide de l'Après-Rupture

Cc: Gilbert Claes, Directeur Général, Après-Rupture.


Lettre Ouverte à la ministre de la Famille

12 mai 2002

Madame Linda Goupil,

Ministère de la Famille et de l'Enfance
1122, chemin Saint-Louis 3e étage
Sillery (Québec) G1S 4Z5
Téléphone : (418) 643-4491
Télécopieur : (418) 643-4450


Madame la ministre. Je voudrais dénoncer par la présente votre conception de la famille et de l'enfance.

En effet, comment un père comme Monsieur Hermil Lebel peut-il avoir comme devoir de s'occuper de ses enfants et se retrouver en prison lorsqu'il les appelle au téléphone?

Il est loin d'être le seul Homme au Québec à avoir souffert d'une idéologie féministe totalitaire qui exclut de façon cruelle et chauviniste toute notion de la condition masculine.

Par un sexisme élevé au rang de doctrine politique borgne et mensongère, les Hommes au Québec vous apparaissent:

-tantôt comme les éternels bourreaux de pauvres femmes-martyres en constant état de grâce (la politique d'intervention en matière de violence conjugale)

-tantôt comme les piédestaux maudits d'un matriarcat victorieux (l'image médiatique de l'Homme arriéré, défait, soumis et culpabilisé devant la femme impunément vengeresse)

-tantôt comme des guichets automatiques récalcitrants (les pensions alimentaires exorbitantes).

Mais dans quelle révolution culturelle néo-maoiste, dans quelle réincarnation des sorcières de Salem nous faites vous atterrir?

Là ou les allégations féminines servent, sans jugement, de preuve d'une éternelle culpabilité masculine?

Là où la masculinité est considérée comme un péché originel?

C'est ça la famille maintenant?

Est-ce votre nouveau modèle paternel pour les Enfants?

Je voudrais vous rappeler que nous sommes dans un pays démocratique, où règne encore la libre expression et que cette horrible page de l'histoire sociale du Québec commence à être dénonçée, tant par les Hommes que par les Femmes.

Je vous prie d'accepter, Madame, l'expression de mes salutations les meilleures.


Jim Bovey,
Membre de l'après-rupture. L'affaire Hermil Lebel,




9 mai 2002

Monsieur Bernard Landry
Premier ministre du Québec
Conseil exécutif
Édifice Honoré-Mercier
835, boulevard René-Lévesque Est
3e étage
Québec (Québec) G1A 1B4
Téléphone : (418) 643-5321
Télécopieur: (418) 646-1854
Courriel : premier.ministre@mce.gouv.qc.ca


Monsieur le Premier ministre,

Présentement, un père privé de voir ses enfants depuis des mois, croupit en prison pour avoir brisé un ordre de Cour; il a tenté de parler à ses enfants au téléphone ! Force est de constater la gravité de son geste, puisque M. Hermil Lebel, emprisonné depuis le 27 avril va demeurer en prison jusqu'au 14 mai prochain.

Que doit-on penser d'un gouvernement qui prétend vouloir la souveraineté d'un peuple mais qui protège si peu les droits des pères? Ce qu'on entend des pères rejetés est le sentiment d'être des citoyens qui sont, en partant, mal perçus par les officiers de justice supposés les protéger et qui, au contraire, dénient leurs aspirations les plus légitimes de pères. Sur le chemin du père absent, trop d'hommes se retrouvent éloignés de leurs enfants, puis subordonnés aux diktats maternels garantis par la répression judiciaire. Disons-le, sous l'effet de certaines pressions sociales, la présomption d'innocence des mâles semble s'être transformée, en "présumé coupable-statistique."

Qui plus est, il suffit de jeter un oeil aux politiques de nature économique pour constater comment l'état traite 96% des payeurs de pensions alimentaires, les pères séparés de leurs enfants. Ces pères se voient à la fois privés de leurs enfants, mais aussi des argents qui pourraient garantir la qualité des moments qu'ils passent avec eux. Pour ces honnêtes travailleurs, être un père séparé, équivaut à être considéré fiscalement comme un célibataire selon l'impôt, mais, tout en conservant la charge économique des enfants ! En plus, selon la grille de fixation des pensions alimentaires pour enfants, le premier 20% du temps de garde, soit le temps accordé à la plupart des pères par les juges, ce temps, n'est pas retenu comme pouvant générer des dépenses ! Pour ce qui est des allocations familiales, n'y pensez pas. Encore? La capacité de payer, s'établit selon la grille, à 50% du salaire brut moins 9000$ par année décrété comme suffisant pour vivre et pour voir ses enfants au deux semaines. Ah! Ils sont riches les pères célibataires, quand ils paient près de 50% d'impôts, car n'oublions pas que les pensions alimentaires pour enfants sont calculées à partir du salaire brut !

Depuis que votre Parti a promulgué cette loi il y a 6 ans, le 9000$ par année de subsistance consenti au père séparé de ses enfants, n'a pas été indexé au coût de la vie, et ce, contrairement aux pensions alimentaires qui elles, l'ont été annuellement!

On comprend par ces politiques qu'un parent non-gardien n'a besoin ni d'une chambre, ni de nourriture pour assurer le bien-être de sa progéniture une fin de semaine sur deux. De plus, aucune mesure administrative n'est encore en place pour protéger le droit naturel du père à voir ses propres enfants.

Il est évident, que vos politiques n'aident en rien le père des familles éclatées. Au contraire, elles agissent contre lui de manière

coercitive. Présentement au Québec, 300,000 enfants sont sans 'patrie', privés qu'ils sont de l'expertise paternelle. Et de la garde accordée à la mère, celle-ci trop souvent, va les confier à l'état pour 5 piastres par jour.

Monsieur, la souveraineté du Québec est inconcevable sans la souveraineté légitime du père dans le tissu social. Et vous conviendrez, qu'il y aurait lieu de croire que la garde partagée est en soi une forme de souveraineté-association. Si des états, avec tous leurs moyens, comprennent la nécessité de créer et de mettre en place des mécanismes pour résoudre d'éventuels conflits, il nous est permis de croire, que dans le microcosme social de la relation des parents séparés, pères, mères et enfants mériteraient de voir la mise en place de tels mécanismes. Des mécanismes propices à la résolution des conflits. Des infrastructures sociales capables de départager ces parents séparés, dans le but premier, de favoriser le bien-être ultime des enfants du Québec, mais aussi, pour élever nos qualités de citoyens par-delà la culpabilité qu'un sexe veut présentement faire peser sur l'autre.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier ministre, l'expression de ma très haute considération.





Alain Lesage
Service d'information sur la condition paternelle
760 Chemin St-Marc
St-Mathieu du Parc
Tél. 819 532-2930
Mtl. 514 594-5754


Cc. M. Paul Bégin , Ministre de la Justice. M.Guy Julien, Ministère du Revenu. Média.

Le 6 mai 2002

Monsieur Paul Bégin
Ministre de la Justice
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6

OBJET : COMMUNIQUÉ DE L'APRÈS-RUPTURE (AFFAIRE HERMIL LEBEL)

Monsieur,

Avons-nous un système judiciaire à deux vitesses, un pour les femmes qui ont tous les droits et un second pour les pères qui ont toutes les obligations ? Est-ce de cette façon que la justice traite les pères qui veulent s'impliquer auprès de leurs enfants ?

Je me demande, Monsieur le Ministre, si j'agissais comme l'épouse Hermil Lebel, i.e., nier les droits d'accès et déposer une plainte mensongère pour violence à la police à l'endroit de l'EX., croyez-vous que j'obtiendrais les mêmes résultats que cette dernière et en prime, aucune conséquence sur mes agissements ?

Je crois que je vais tenter l'expérience, la justice est supposée être la même pour tout le monde, n'est-ce pas Monsieur le Ministre ? Voyez-vous, je fais parti des rares pères qui ont la chance d'avoir la garde de leurs enfants (je ne me suis pas laissé biaiser par des avocasseries), et ce, depuis le divorce (plus de 5 ans).

Dites-moi, Monsieur le Ministre, est-ce un crime que de vouloir parler à ses enfants ? Est-ce que la Justice déni tout droit à monsieur Lebel ? Et bien ! J'ignorais, jusqu'à ce jour, que nous avions un système judiciaire despotique envers les pères séparés et/ou divorcés.

En espérant qu'un jour qu'il existera une vrais Justice pour tous les Hermil Lebel, en attendant, Monsieur, soyez assuré que je vais m'impliquer, lors du prochain scrutin général, à travailler auprès d'un candidat qui désire une vrais Justice au Québec.

René Lussier
895, rue Perreault, C.P. 1200
Contrecoeur (Québec) J0L 1C0


Lettre ouverte au Ministre de la justice et aux journalistes

Montréal, le 7 mai 2002

Monsieur Paul Bégin,
Ministre de la Justice du Québec
MINISTÈRE DE LA JUSTICE DU QUÉBEC
Palais de justice de Montréal

1 rue Notre-Dame Est

Montréal (Québec) H2Y 1B6;

Les journalistes du Québec

Objet: Affaire Hermil Lebel

_______________________


Monsieur le ministre de la Justice du Québec,

Messieurs et Mesdames les journalistes,

Il est insoutenable qu'une société, quelle qu'elle soit, envoie ses citoyens en prison sous simple présomption. On ne parle pas ici d'une quelconque entente hors-cour, on parle de la PRISON ! Là même où on n'est pas capable d'expédier les criminels reconnus coupable devant la loi.

Il est impardonnable que les journalistes du Québec passent sous silence ces faits.

Mais, il est épouvantable qu'un homme perde sa dignité, sa vie... qu'il doive aller vivre dans une chambre avec, pour voisinage, des B.S. et des somnambules. Qu'il se retrouve en prison pour la 3ieme fois, tout ça par la faute d'un système qui propage la haine envers les hommes. Pas simplement les hommes, mais bien les pères de famille, les travailleurs, les pourvoyeurs. Bref, ceux qui contribuent le plus à la société.

Tout bonnement, on se retrouve en U.R.S.S. dans les années 20 où l'on avait décidé d'éliminer la classe bourgeoise, cette même classe qui faisait tourner la roue économique du pays. Envieux, les plus pauvres, décidèrent de suivre un parti politique démagogue qui, le disaient-il, leur fournirait argent et vêtements et éliminerait ces méchants riches. La chasse aux sorcières était lancée...

En 2002, au Québec on voit une certaine classe de femmes qui voudrait prendre la place des hommes sans travailler pour l'avoir. Et vous, monsieur le ministre, vous qui êtes le prétendu gardien de la justice, vous les y encourager en laissant une situation comme celle-ci se produire. Pendant ce temps, vous, messieurs et mesdames les journalistes, gardiens de la transparence, vous refusez ce rôle puisque vous êtes devenus les messagers d'un parti politique en soif de pouvoir. Salvador Allende affirmait que "Pour un journaliste de gauche, le devoir suprême est de servir non pas la vérité, mais la révolution [ou la propagande gouvernementale]". C'est malheureusement là où nous en sommes rendus.

Monsieur le ministre, messieurs et mesdames les journalistes, je vous demande bien : "Qu'attendez-vous pour réagir ?" Les hommes en ont marre, quelques femmes aussi.

Dans l'attente de vos réactions, veuillez accuser, monsieur le ministre, messieurs et mesdames les journalistes, mes salutations distinguées.

Marie-Eve Boucher,
Montréal
Citoyenne de la République québécoise (dite de banane)




Dédié au Ministre de la justice, Paul Bégin

6 mai 2002
Francine Allard



Il y a des années que je reçois des courriels de membres de l'Après-Rupture. Ce groupe de pères de familles évincés, effacés, rayés de la vie de leurs enfants par des femmes qui en ont eu marre. Suis-je donc la seule femme que ces plaintes de loups blessés arrivent à toucher?

Qu'y a-t-il de si politiquement incorrect pour que les ministres, les juges, les journalistes aient si peur de parler de la tyrannie des femmes? Pourquoi suis-je si différente pour accorder aux hommes divorcés le droit inaliénable de voir leurs enfants? Pourquoi suis-je si frustrée lorsque je vois une de mes copines exagérer, souvent sous les conseils de son avocate, afin de ternir l'image du père aux yeux de ses enfants? Pourquoi un homme qu'on a aimé jusqu'aux sanglots perd-il soudain toute capacité d'aimer son fils ou sa fille parce qu'une crise survient au sein d'un couple? Pourquoi la femme conserve-t-elle l'exclusivité de l'éducation et de l'amour des enfants?

Si seule la femme possède la compétence pour élever les enfants, pourquoi alors le gouvernement donne-t-il la permission légale à un couple d'hommes homosexuels d'en adopter ? Ce sera une catastrophe sociale si l'on pousse ce théorème jusqu'au bout.

Révisons la situation. Un couple s'aime d'amour tendre et vit lové autour de trois enfants. Soudain, une crise éclate. Trois fois sur cinq, Monsieur trompe madame. Elle se sent bafouée. Comme elle n'est souvent ni l'autorité, ni la pourvoyeuse, elle cherche désespérément un moyen de faire payer à Monsieur ses frasques. L'empêcher d'être aimé par ses enfants. Le salir, le broyer, l'anéantir. Deux moins deux égalent zéro. Je ne comprends pas. Pourquoi un homme qui a été un bon père durant 15 ans devient-il une merde dès qu'une crise survient entre lui et sa femme? Pourquoi, surtout, la mère conserverait-elle ses talents d'éducatrice alors que, terriblement frustrée, elle s'emploie à des travaux de démolition à la journée longue?

Le gouvernement n'a qu'une solution : la médiation. La médiation qui ne perdra jamais de vue le bonheur des enfants UNIQUEMENT. Des médiateurs et pas des avocats. Des médiateurs parmi les couples unis de ce pays, par exemple. Des couples qui peuvent aider les couples divorcés et leurs enfants à passer sainement à travers, sans s'entre-tuer.

Je rêve, vous savez bien.

Un grand-père s'est adressé au Directeur de la Protection de la Jeunesse pour empêcher son fils et sa bru de fumer en présence de leur bébé de 8 mois. Les journaux en ont parlé. Et bien alors? Que tous les grands-parents de familles divorcées se donnent la main et s'adressent au DPJ pour empêcher leurs fils et leurs filles de faire mal aux enfants.
Et que cesse le despotisme des femmes.
Et que cessent les larmes des enfants.
Et que vienne la justice.

Francine Allard

Francine Allard est écrivain, chroniqueur et auteur de nombreux romans pour enfants, dont le dernier et controversé "Mon père, ce salaud (Vents d'Ouest 2000) "


Editorial

Alain Thomas
Montréal
3 mai 2002

Lettre ouverte au Ministre de la justice du Québec

Montréal, le__ .....

Ce midi, un autre terrible drame conjugal à eu lieu à Montréal. Un homme père de famille, Hermil Lebel, découragé, a assassiné son ex-conjointe dans son logement alors que les enfants étaient absents. L'homme a mis fin à ses jours ensuite. Il semble qu'il y avait litige sur la garde des enfants entre les parties.

Un représentant du groupe d'aide aux pères séparés L'Après-rupture nous confiait que ce père avait été mis en prison à plusieurs reprises sous de simples allégations non vérifiées. Le père a même semble-t-il gardé les enfants chez la mère à la demande de celle-ci. Les ministres de la justice M. Bégin et Cauchon, les médias et plusieurs députés étaient semble-t-il au courant et n'ont pas agit.

Selon le représentant du groupe, le juge Beaudoin de Montréal a semble-t-il été saisit d'une requête en outrage au tribunal contre la mère qui coupait tout accès entre les enfants et le père. Le juge a refusé d'entendre la preuve et les témoins rejetant la requête, avait cependant coupé tout les accès des enfants aux pères, ce qui semble pour le moins injuste et incompréhensible. Il semble aussi que ce même juge était au fait d'une plainte contre lui à la magistrature par M. Lebel.

M. Lebel aurait été incarcéré du vendredi 27 avril 2002 au 14 mai, nous tenons à souligner que M. Lebel avait une audition en cour familiale le lundi 29 avril 2002. Étant donné que M. Lebel était en prison il ne pouvait comparaître et risquait de perdre par défaut. Selon le représentant du groupe de l'Après-rupture ni la mère ni l'avocate de celle-ci ne se sont présentées ce lundi matin pour l'audition, ce qui nous porte à croire que le coup de l'incarcération était prémédité. Heureusement qu'un membre du groupe mentionné s'est présenté pour Hermil et avisé la cour de la situation. Il semble que de tels agissements soient devenus courants dans le domaine de la cour familiale.

Déjà des psychologues parlent d'un homme narcissique qui devant une perte de contrôle a posé un geste terrible. Mais nous doutons, qui avait le contrôle sur qui? Qui n'en viendrait pas à des gestes désespérés lorsqu'on lui enlève ses enfants. Je me demande ce qu'aurait dit ces psy, si le père avait privé la mère de contact en les enlevant?

Rappelons-nous tous ces drames, quand est-ce que les ministres de la justices se pencheront sans préjugés sur la loi du divorce et tout ce qui lui touche. Présentement sous simple dénonciation une ex conjointe portant plainte obtient l'incarcération de son ex conjoint, les policiers ayant reçus des directives sont obligés d'agir peut importe que les faits reprochés soient vrais ou faux. Certaines ex conjointes s'en donnent donc à coeur joie pour empêcher le père de voir ses enfants, la loi ne faisant aucune réprimande à celles qui utilisent le système de cette façon. Quelle belle façon aussi de gagner la garde et la pension au civil, si le père est en prison il doit être violent, peu importe la véracité des accusations de la mère.

On parle beaucoup de l'intérêt des enfants en cour aujourd'hui, mais ces situations sont elles réellement dans l'intérêt des enfants, est-ce dans l'intérêt des enfants de permettre à un parent de couper tout contact entre eux et l'autre parent? Est-ce dans l'intérêt de ceux-ci de laisser leur garde à ce parent qui abuse du système pour se venger de l'autre? Combien de victimes faudra-t-il?


PS; Voilà M. Bégin et Cauchon, il ne vous reste qu'à mettre la date. Votre inaction en sera la cause, on joue à l'autruche depuis des années pour garder le vote des femmes! On camoufle tout et on se donne des tapes dans le dos, tout est parfait, la loi du divorce, code civil, les lois répressives contre les hommes, pères, comités de suivit et loi sur les pensions. Mais les faits sont là, depuis des années à coup de centaines de millions pour régler le problème de ''violence conjugal'' et supposément çà empire, peut-être n'avez-vous pas la bonne solution au bon endroit? Peut-être même faites vous partie du problème!

Si ce ''scoop'' se concrétise messieurs les ministres de la justices, soyez certains que je me ferai un réel plaisir de vous poursuivre vous, vos ministères et ceux que vous représentez, j'y mètrerai toutes mes énergies peut importe que vous reveniez au déficit. Vous avez eu assez de lettres qui dénoncent ces injustices lors de séparation et divorce. La farce a assez duré, il sera temps de passer à l'action et si les tribunaux du Québec et du Canada ne suffisent pas où refuse d'agir, il y aura d'autres instances, d'autres moyens.

Veuillez agir sans délais.


Alain Thomas
L'Après-Rupture


Coalition pour la défense des droits des Hommes
Case Postale 47645, Montréal, Canada H2H 2S8 Tél.: (514) 527-9876

http://www.coalitiondeshommes.org
coalitiondroitsdeshommes@hotmail.com


Montréal, le 2 mai 2002

Monsieur Paul Bégin,
Ministre de la Justice du Québec

Ministère de la Justice
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
Montréal (Québec) H2Y 1B6

Télécopieur : (514) 873-7174





Monsieur le Ministre de la justice,

Un de nos membres, Monsieur Hermil Lebel, est en prison pour avoir selon ce que nous avons appris voulu parler au téléphone à ses enfants, qu'il n'avait d'ailleurs pas pu voir depuis le mois de décembre. Il faudrait que le système judiciaire canadien cesse de donner aux femmes la possibilité d'utiliser le système judiciaire pénal pour obtenir des avantages réglés dans la plupart des pays civilisés par des cours civiles.

Par le biais de fausses accusations les hommes de notre pays sont continuellement dépossédées de leur maison, de leurs actifs et même de leurs enfants, quand ils ne perdent pas aussi par conséquent leur emploi.

De multiples exemples nous ont prouvé que pour justifier ces arrestations suivis de spoliations les hommes sont ensuite déclarés coupables à partir de motifs complètement farfelus : sourire, hésitations, etc., … quand il ne s'agit pas d'un rocambolesque prétexte d'avoir soi disant dit vouloir tirer un frein à main.

J'ai abondamment décrit les méthodes employées par le système policier et judiciaire dans mon livre : " Coupable d'être un homme. "Violence conjugale " et délire institutionnel ", paru chez VLB, Montréal en 2000. J'y montre comment les fausses accusations érigées en sport national font de la Politique d'intervention en matière de violence conjugale du Québec une véritable farce souvent tragique…pour les hommes. En effet, il n'y a pas à s'étonner que, face à ces méthodes de dépossession, des hommes se suicident en si grand nombre après avoir parfois malheureusement tué ex-conjointe et enfants.

En conclusion, je vous prierai au nom de la Coalition pour la défense des droits des hommes du Québec de faire tout votre possible pour que ce terrorisme d'état - c'est-à-dire l'utilisation de la violence à des fins politiques - à l'égard des hommes en situation de rupture conjugale cesse. J'espère que le cas de Monsieur Hermil Lebel sera traité de manière à ne pas déshonorer une fois de plus le système judiciaire de notre pays. Veuillez agréer, Monsieur le Ministre de la justice, mes salutations distinguées.


Georges Dupuy
Président, Coalition pour la défense des droits des hommes du Québec


Lettre à Paul Bégin

04 mai 2002


M Paul Bégin

Ministre de la Justice
Gouvernement du Québec


SUJET: AFFAIRE HERMIL LEBEL (2)

Nous sommes sans réponse de votre part devant une situation qui risque d'exploser. Hermil Lebel a été poussé à bout par le système judiciaire, et on lui demande de rester calme, de ne pas perdre sa job, de continuer à payer sa pension alimentaire et de respecter une ordonance violant son droit à la paternité et le droit de ses enfants à avoir leur deux parents. Il est présentement en PRISON, à Bordeau selon nos sources, en attente d'un procès pour avoir voulu parler à ses enfants qu'il n'a pas vu depuis avant Noël.

Hermil Lebel aime ses enfants, il veut leur parler. Mais au Québec, on ne parle pas à ses enfants quand on veut, oh que non. Le gouvernement se mêle de la vie privée des gens via les tribunaux de la famille, et

ORDONNE.

ORDONNE de payer.

ORDONNE de faire vivre l'ex-conjointe ad vitam eternam, pour les "tors" qu'elle a subit du simple fait de marier, en toute bonne foi et en plein connaissance de cause, l'homme qu'elle aime.

ORDONNE au père de se tenir loin, aussi loin que l'ex-conjointe le demande, grâce à l'article 810 du code criminel qui tire les pères du lit en plein nuit dans leur someil pour les emprisonner sans preuve sous le coup de l'émotion du moment.

Monsieur Bégin, voulez-vous d'un autre Martin Brossard? Nous crions à l'aide avant le drame. Entendez-vous l'appel? Un père de famille est abusé, violé dans son intégrité, torturé par des systèmes judiciaire et policier déficients.

Le Québec, réputé pour son attitude préventive, saura-t-il intervenir à temps?

Le réel pouvoir n'est pas de faire suivre à la justice son cour, mais d'intervenir quand la justice déraille. M Bégin, utiliserez-vous ce pouvoir?

Martin d'Anjou
Directeur
Entraide Pères-Enfants Séparés
Point d'Aide de l'Après-Rupture


Jean-Claude Boucher,
Président
L'après-rupture,
Atelier pour les liens pères-enfants Inc


Brignogan, le 3 mai 2002

Monsieur Paul Bégin
Ministre de la Justice du Québec

Ministère de la justice
Palais de Justice de Montreal
1 rue Notre-Dame est
H2Y1B6 MONTREAL


Monsieur le Ministre,

Je me permets d'attirer votre attention sur le cas de Monsieur Hermil Lebel, emprisonné une nouvelle fois pour avoir tenté un contact téléphonique avec ses enfants dont il est séparé.

Membre d'Amnesty International, je suis avec attention les excès procéduraux des deux côtés de l'Atlantique et je suis atterrée de voir le sexisme qui se développe au Canada vis-à-vis des hommes. Si l'objectif de protection des faibles au sein de la famille paraissait à l'origine bienvenu, le manque total de garde-fous et de souci de la vérité aboutit à des situations injustes et souvent dramatiques.

Etant femme moi-même et ayant lutté toute ma vie pour la cause des femmes, je suis parfaitement consciente des errements que peut provoquer chez mes consoeurs une législation qui leur permet d'accuser sans preuve et sans risque de poursuite.

Il semble bien que Monsieur Lebel entre dans la catégorie des victimes et mérite à ce titre toute votre attention afin que son cas puisse être réglé rapidement, humainement et équitablement.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de ma considération.

Annie Bizouarn
bibliothécaire-retraitée
Brignongan, France

CC: Médias francophones
RE: http://lapresrupture.qc.ca


30 avril 2002

Au ministre de la justice : Paul Bégin

Ministère de la Justice
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174


Monsieur,

Il y a en ce moment un père, Hermil Lebel, qui est en prison.

Il a téléphoné à ses enfants.

Je trouve qu'envoyer quelqu'un en prison pour un coup de téléphone est une grave injustice qui s'ajoute à toutes les autres injustices dont sont victimes les pères Québecois en cas de conflit avec leur conjointes.

Je mets à la place de cet homme trompé par un système judiciaire sexiste et c'est suffisant pour me dégoûter, comme j'en suis sûr bien d'autres hommes, de tenter l'expérience de la paternité.

Qu'on ne soit pas surpris que les hommes soient moins tentés d'avoir des enfants que les femmes.

Qu'on ne soit pas surpris d'une dénatalité galopante.

Qu'on ne soit pas surpris qu'un conjoint, vidé de tout espoir de justice, en vienne à contribuer aux statistiques alarmantes sur le suicide au masculin.

Jim Bovey, Montréal.


Honorable Ministre de la Famille et de L'Enfance.
29 avril 2002

Objet: cause de Mr Hermil Lebel

C'est avec empressement que je désire vous faire savoir que ce père doit se faire libérer, nous n'avons aucun droit de départir des enfants de leurs parents, parce que nous désiront communiquer avec eux.

En tant que membre de l'après-rupture, région de la Beauce je me joints aux pères qui désirent un profond changement.

Je suis un père qui as été faussement accusé, qui vit les mêmes genres de conflits(degré inférieur) avec son ex-épouse et j'imagine que leur père est démontré depuis leur séparation comme un pas bon, un sans-coeur et tout ce qu'une femme réalise puisqu'elle peut démontrer ce comportement à sa guise lors de ces épisodes de crises, avec le consentement et l'appuie de la belle-famille qui mettent la même volonté à détruire l'image du père qui n'a pu rendre heureuse la mère de ces enfants... Selon le peu que je connaisse de cette dynamique familliale les enfants peuvent être marqué pour leur vie à venir. Vous ne pouvez vous imaginer ce que un homme doit faire pour se controler lorsqu'il subit ce genre de comportements. C'est d'avantage que lors de leur vie commune, crise de jalousie, tentative de manipulation pour faire ce que Mme. désire etc.
Quand aurons nous droit aux expertise qui démontre que ce genre de châtiment est plus nuisible à tous, que de punir sans preuve les enfants de ces familles.
Quand aurons nous droit d'aimer nos enfants, avec une tierce personne et avec la même liberté pour les deux.

Quand aurons nous droit à la protection la moins négligeable pour nos enfants.

Ces enfants ont droit à une vie avec leurs deux parents, nous sommes prêt à un changement.

Oui nous pouvons avoir droit à un ange guardien pour nos enfants, lors de leur sortie avec le père qui serait un démon.

Oui nous avons droit et oui nous préférons payer de cette façon; pour le bien de tous.

Cela peut se réaliser dans un avenir très proche.

Des expertises sont en place seul un bon vouloir de nos dirigeant permettra sa mise en place.

Il est URGENT d'agir dans le but de cesser tout ces carnages.

Salutations.

RICHARD POMERLEAU PMO
c.p. 696 TEL 459.3658
504, 15th ave La Guadeloupe G0M 1G0


Osaka, le 29 avril 2002

Monsieur Paul Bégin

Ministre de la justice du Québec

Sujet : Affaire Hermil Lebel

Monsieur,


C'est avec une grande et profonde tristesse que je lis, ici à l'autre bout du monde, que n'avez encore rien fait dans le cas de M. Hermil Lebel.

Ce citoyen québécois, honnête et bon père de famille se voit emprisonné sur simple dénonciation d'un autre citoyen québécois, mais celui-ci de sexe féminin. Quelle sinistre mystification que la déclaration d'égalité lorsque la parole d'un citoyen (de sexe féminin) peut envoyer en prison un autre citoyen (de sexe masculin) sur simple dénonciation ! Le citoyen dénonciateur (de sexe féminin) n'a qu'a exprimé sa supposée crainte pour pouvoir emprisonner un autre citoyen. Et vous n'y voyez rien d'indécent? Vous n'y voyez pas d'abus de pouvoir?

Qu'en arrive t il de la présomption d'innocence ? Dans le cas de M. Hermil Lebel et de milliers d'autres honnêtes québécois, il y a présomption de culpabilité. Et vous ne voyez rien qui cloche?

Quelle honte!

Quelle honte pour le Québec lorsqu'on peut emprisonner un citoyen sur simple dénonciation, à l'encontre de tous les principes démocratiques qui supposément sont à la base de notre démocratie.

On se trouve plutôt en pleine "démocratie populaire" où une simple dénonciation pour crime de la pensée menait droit au Goulag, et à la mort.

Le Québec se modèle sur la pensée de ce « grand » démocrate, Joseph Staline : « il vaut mieux exécuter 100 innocents plutôt que de laisser s'échapper un seul coupable. » C'est là la mentalité des juges qui envoient des milliers d'hommes en prison au cas où cette fois ci la dénonciation de la femme serait vraie. « Au cas où ...; donc ne prenons pas de risques. » La justice des « démocraties populaires » a remplacé la justice « libérale. » Il n'a fallu au Québec qu'un quart de siècle pour détruire l'Habeas Corpus, un principe que remontait à la Magna Carta (1215.)

Quelle ignominie!

Monsieur, votre travail est de voir à ce que chaque citoyen québécois soit également protégé par la loi. L'infamie (in)justicière qui ne vise que les hommes est indigne de nous, de nos ancêtres, et des principes d'égalité devant la loi.

En attendant de lire que M. Hermil Lebel est (enfin) traité comme un citoyen digne de jouir de la protection ÉGALE des lois démocratiques, je vous remercie de lire la présente missive,

Gérard Pierre LEVESQUE



1-13-102 Tsurumai Nishimachi
NARA-shi, Nara-ken
JAPON 631-0022  


Le 29 avril 2002

M Paul Bégin
Ministre de la justice
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174


Sujet: L'affaire Hermil Lebel


Monsieur,

Tant qu' à être là, émettez donc un mandat d'arrêt contre tous les hommes honnêtes du Québec comme ça y aura plus de problème.

Merci, de me considèrer au second rang. Mr Lebel sera l'exemple de votre incompétence et de votre faiblesse.Le système judiciaire du Québec équivaut aux traitements inffligés aux Afro-américains avant la Guerre de Sécession.

C est le cas de la dire...Vivre LA Québec libre!!!!!


Yvano Lapierre
8308 St-Hubert
Montréal
514-382-3109 Monsieur Paul Bégin
Ministre de la justice.
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174

Vous vous faites le complice d'accusations qui ne sont basées sur aucune preuve, hormis les états d'âme d'une femme qui transforme ses propres enfants en revenu de pensions alimentaires et en déductions de toutes sorte.

Votre gouvernement bafoue la démocratie dans la chambre de la famille en donnant aux femmes le droit d'accuser les pères sur des preuves qui n'existent pas. Vous allez le payer aux prochaines élections.

Vous discriminez les sexes avec l'argent des contribuables hommes et femmes en payant cette propagande mensongère dans des politiques gouvernementales sur la violence. Cette violence n'est qu'un mythe tel qu'écrit dans cette propagande haineuse contre les hommes. Cherchez à qui ce crime profite. c'est assez facile de le trouver. En tout cas ce crime ne vous profitera surement pas aux prochaines élections, ni à votre gouvernement.

J'ai maintenant honte d'avoir voté pour le parti québécois complice de tant de turpitude... Erk !!!

Pierre Pignac,
70 Maisonneuve, #5
Québec




29 avril 2002

Monsieur Paul Bégin
Ministre de la justice.
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174


Sujet : Affaire Hermil Lebel
Objet : Le harcèlement juridique continue

La présente fait suite au Communiqué de presse publié par L'après-rupture hier et aux différentes lettres qui vous ont été envoyées hier et aujourd'hui.

Nous avons reçu ce jour un appel téléphonique à frais-virés d'un père de famille emprisonné et en état de choc.

La jugesse Corté sous les conseils de l'avocatE de la couronne a estimé qu'un père de famille qui désire communiquer avec ses enfants qu'il n'a pas vu depuis le 24 décembre constituait un grand danger pour leur mère et a décidé de garder Hermil Lebel en prison jusqu'à son procès fixé au 14 mai.

Qu'importe qu'il ne soit coupable que d'être un père...

Qu'importe que la présomption de culpabilité ne soit basée que sur des déclarations invérifiables.
Qu'importe que les craintes de la ''victime'' n'ait aucun fondement...
Qu'importe que la santé psychologique de ce père de famille soit en cause...
Qu'importe que l'avenir d'un bon citoyen, travailleur et père de famille soit menacé...
Qu'importe que ses enfants soient punis par l'absence de leur père...
Qu'importe que ces enfants soient considérés comme les enfants d'un criminels...

L'infamie judiciaire contre ce père et ses enfants a continué aujourd'hui.

Pour la deuxième fois en autant de jours, L'après-rupture demande votre intervention pour que ce harcèlement judiciaire cesse et que Hermil Lebel soit remis en liberté avant que sa santé psychologique se détériore ou qu'il ne devienne un criminel en puissance révolté par autant d'injustice.


Jean-Claude Boucher
Président,
L'après-rupture
450-772-6812



Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174


Monsieur le Ministre de la Justice

Paul Bégin,

Nous avons un membre, ---hélas, ce n'est pas le premier---, qui est allé rejoindre pour une fin de semaine en prison, des ivrognes, des malfrats, des pédophiles, des voleurs à la petite semaine, des « pushers » et probablement des membres de groupes criminalisés.

Son crime sera (parce qu'il n'est pas encore jugé) d'avoir enfreint un mandat de paix. Dans son cas, il a voulu communiquer par téléphone avec ses enfants. Comme vous êtes au courant, en matière de violence conjugale, il suffit que la « victime se sente en danger » pour qu'une plainte soit déposée contre son conjoint. Ce que nous déplorons, est le fait, comme beaucoup de plaintes déposées durant la période d'une rupture familiale sont fausses et fondées sur une escalade de frustrations et de colères de part et d'autres. Dans la majorité des cas, il est question de garde et d'accès aux enfants. En matière violence conjugale, dossiers dont en êtes fait un ardent défenseur, les conjointes exploitent à l'excès certains articles de Loi, dont le 264 et le 810 du Code criminel, dans le seul but de se venger d'une quelconque frustration psychologique.

La Loi, permet de citer le méfait public dans de tel cas, hélas, nos expériences nous démontrent lorsqu'un père veut se faire respecter, un certain mot d'ordre de l'infrastructure policière et judiciaire freine ou carrément refuse de procéder au dépôt de la plainte. Nous nous doutons, qu'un mémo ou lettre venant de votre ministère fut envoyée pour que des citoyens ne puissent se faire respecter dans leurs droits dans de tel cas.

Il est abusif et l'Après-rupture considère le fait de restreindre les droits et libertés comme de l'harcèlement administratif, principalement dans des situations conflictuelles durant la période de rupture. Enfermer d'honnêtes citoyens, sur simple présomption ou dénonciation de la conjointe est digne des pratiques d'une républiques de bananes

Dans le cas cité ci-haut, Monsieur Lebel, vit une situation des plus traumatisante et dangereuse pour sa propre santé. L'enfermer ne fait qu'empirer sa santé, et nous vous en tiendrons personnellement responsable. Il n'a pas les moyens financiers, ni le droit à l'aide juridique pour une défense juste et équitable. Tous ce qu'il désire, comme tous nos membres, est d'être respecté en tant que parent et être humain.

Nous vous demandons Monsieur le ministre :

Que les procédures abusives contre Hermil Lebel cessent immédiatement;

Que ses droits et accès à ses enfants soient rétablis immédiatement et ce dans l'intéêt supérieur des enfants;

Qu'un avocat soit désigné et payé par l'état aux même conditions que ceux des Hells Angels pour que tous ses droits soient respectés;

Qu'une médiation obligatoire soit imposée aux parents afin de les aider à traverser leurs différents en dehors du processus du litige;

Qu'un psychothérapeute conjugal soit nommé à les aider à rebâtir une relation parentale de famille éclatée;

Que les charges criminelles et mandat de paix soient annulés dans l'immédiat.

Enfin,

Qu'une Table de concertation sur la rupture conjugale avec enfants soit créée;

Que les acteurs de cette Table rassemblent des gens du milieu et aussi, des représentants des groupes de pères séparés;

Qu'un budget de fonctionnement soit établi en tenant compte du non-financement aux groupes comme le nôtre.

Que cette Table soit officiellement annoncée dans les médias en signe d'ouverture du Ministère de la justice.

Bien à vous.


Gilbert Claes, dg
L'après-rupture
1-866-624-7272


N.B. Vous connaissez notre politique de transparence; cette lettre sera envoyée à tous les médias et même ceux d'outre mer.
Nous croyons que le pays comme la France, là ou le Québec fait actuellement du recrutement de personnel, doit être informée des pratiques abusives en matière de violence conjugale.


Réponse du Ministère


Gatineau, le 28 avril 2002

Monsieur Paul Bégin, Ministre

Ministère de la Justice
1200, route de l'Église, 9e étage
Sainte-Foy (Québec) G1V 4M1


Objet: Cause de Hermil Lebel


Monsieur le Ministre,

C'est avec une sérieuse peine que j'ai lu l'histoire d'Hermil Lebel qui a pu bénéficier d'un troisième séjour en prison car il voulait voir ses enfants. La cause d'Hermil m'a été refilé par Gilbert Claes de l'après rupture à info@lapresrupture.qc.ca . Monsieur Claes demandait aux membre de l'organisme d'être solidaire et de dénoncer les gestes mis de l'avant par un appareil gouvernemental qui ose utiliser le nom Justice.

Monsieur Lebel, d'après les informations que je detiens, n'a pas vu ses enfants depuis le 23 décembre 2001. Moi, Monsieur le MInistre, je n'ai pas vu mes enfants depuis le 17 mars 2001. Je reçois un appel de madame me disant que parce qu'elle n'a pas reçu son paiement de pension alimentaire je ne reverrais plus mes enfants. J'appele le Ministère du Revenu du Québec et ils me disent que Mme reçoit bien sa pension. Ils m'informent même qu'il semble avoir un surplus au compte.

Voyez-vous je suis fontionnaire fédéral et la déduction sort automatiquement sur mon talon de paye 26 fois par année. Rien de compliqué là dedans vous direz?

Mais l'histoire remonte à bien plus loin. En septembre 2000, notre fille ainée (maintenat agée de 23 ans) me fait part d'abus psychologiques et d'exploitation sexuelle qu'elle a subit au main de sa mère. Je questionne Mme sur la question et voilà qu'on trouve une solution rapide. On arrache mes trois petits enfants, Matthieu (10), Ariane (7) et Austin (3) de leur milieu un beau vendredi soir dès leur retour de l'École St-Paul à Hull et on déménage en Ontario. "La bas y pourra pas nous toucher" se disait-elle. Oublions que Mme est suivie depuis 1983 par une pléiade de psychologues et psychiatres ici au Québec. Je communique avec la Police de Hull pour signaler la disparition. Ces derniers m'avisent d'aller voir un avocat APS. Le Sergant Luc Desjardins de la Police de Hull commence a vérifier les choses, il me prend au sérieux. Je m'empresse de voir un membre du Barreau du Québec, Me Suzanne St-Pierre (rue Laurier à Hull).

Mes enfants sont disparus de leur milieu (le 14 Radisson, apt 4, Hull Québec) le 22 Septembre 2000 et le 17 Octobre 2000 un jugement était rendu par l'Honorable Juge Pierre Isabelle me confiant la garde exclusive et unilatérale des enfants. Selon l'Honorable Juge, il était primordial de retourner les enfants au Québec, question de déterminer ici et non en Ontario la question à savoir lequel des deux parents devant assurer le bien-être des enfants. Mme Jamie Lee Johnson a été en mesure de rire dans le visage de l'Honorable Juge. Vous devez comprendre, monsieur le MInistre, que dans votre système de "Justice" certaines classes de la société peuvent rire de vos décisions et celles de vos juges.

Et la Police là-dedans? Je notais que le Sergeant Luc Desjardins de la Police de Hull semblait être sympathique à ma cause. Sa première impression en fut une d'un père normal se préoccupant du bien-être de ses enfants. Il laissa plusieurs messages sur la boîte vocale de Mme question de s'informer sur la situation de mes enfants. Que fit Mme quand elle dû répondre aux question du sergent? "Je suis en maison d'hébergement et il a menacé de tuer les enfants". Fini la symphatie du Sergent Luc Desjardins. Laissons faire le fait que dans les 20 dernières années on a jamais frappé à cette porte (136 rue Brodeur, Hull) pour de la violence conjugale ou autre situation que ce soit. Mme n'avait qu'a le dire. Dossier clos! Deux chars de police à ma porte en avant et en arrière pendant un mois-question d'établir si je suis une menace pour mes enfants!

En décembre 2000, trois mois après la disparition de mes enfants, on m'achemine un message très clair. Remettez la garde légale de vos enfants à Mme si vous voulez les revoir. Un illustre membre du Barreau du Québec. Me Letarte de l'aide juridique à Hull prépare les documents. On remet les choses exactement comme ils étaient avant l'histoire de Septembre 2000- droits de visite en tous temps. J'ai vu mes enfants pour la première fois le 15 décembre 2000. Mon p'tit gars de 10 ans (Matt) m'a avoué "Papa j'ai pleuré tous les soirs dans mon lit car je ne savais jamais si j'allais te revoir". C'est OK le jeune, c'est rien que ton père! Un gros zéro. Le Ministère de Jusice du Québec à rendu un jugement en ta faveur en donnant à ta mère tous ce qu'elle avait besoin pour se débarasser de ton père.

Dormez bien ce soir Monsieur Bégin. Les féministes-extrémistes qui dictent la politique au sein de votre gouvernement (et du PQ) ont gagné pour le moment. Mon père, professeur d'histoire à l'Université, me disait toujours: "les politiques sociales basés sur le mensonge finissent par s'auto-détruire". Ces paroles me restent!

Voilà, Monsieur le ministre, ce que le Ministère de la Justice du Québec m'offre. Vous avez effectivement crée une situation de deux classes de citoyens, ceux qui méritent la Justice et ceux qui ne la méritent pas. Entre-temps, vous permettez à Mme Johnson de continuer d'abuser de mes enfants. Ne me dites surtout pas d'aller voir un avocat pour résoudre le problème! Votre collègue du Ministère du Revenu, via l'agente de dossier Mme Gabriella Phillipe, s'est assurée que je déclare faillitte. Elle a exigé des paiements qui touchainet plus de 75% de mon revenu net me laissant à peine $500 par mois pour vivre. Êlle me répète d'aller voir un avocat! Je n'ai pas vu mes enfants pendant presque six mois parce que je voulais pas qu'ils me voient vivre dans un garage! C'est ça votre Justice?

Pour en revenir à la cause d'Hermil Lebel, je vous demande d'intervenir immédiatement pour que sa cause ne finisse pas comme la mienne!

Justice Quebec

Quelle farce!


Michel Fauteux
Membre de l'après-rupture
Région de l'Outaouais
Région administrative 07
2-44 rue Richelieu
Hull QC
J8Y 4X5


Montréal, mardi 30 mai 2002


Ministère de la Justice
Au Ministre de la Justice, M. Paul Bégin
Palais de justice de Montréal
1, rue Notre-Dame Est
11e étage, bureau 11.39
Montréal (Québec) H2Y 1B6
Téléphone : (514) 873-3317
Télécopieur : (514) 873-7174


Monsieur,

Aujourd'hui mon fils a la varicelle et c'est moi qui le garde. Mon ex-femme doit se rendre à un déjeuner d'affaire, ce midi. Je vais probablement le

garder jusqu'à mercredi parce qu'il est plus fort de sa maladie. Vendredi dernier, c'est moi qui l'ai accompagné au musée avec sa professeure et ses copains. Cela m'a permis de connaître ses amis et d'assurer la présence

d'un homme dans un milieu a 98% féminin désormais. Et en plus, j'ai appris énormément sur mon fils.

Vous voyez, Monsieur le ministre, mon ex et moi nous sommes en coparentalité. Est-ce à cause de cela que nous nous entendons bien ou est-ce le fait d'avoir réalisé que notre fils a besoin d'une mère ET d'un père ? Je ne saurais dire.

Beaucoup, beaucoup de pères sont comme moi... et ceux qui ne peuvent pas

profiter de leurs enfants en sont probablement empêchés par vos lois désuètes et vos conseillères en droit familial qui pensent que seules les femmes sont indispensables aux enfants. Ça fait longtemps que vous et votre système considèrez les pères aléatoires.

Hermil Lebel est énième père aléatoire au Québec. On veut «flusher» l'ex-mari gênant ? Pas de problème; on compose le 911, on l'accuse de violence (35% de fausses accusations au Canada), la cour lui interdit l'accès aux enfants. Avec un seul coup de téléphone, on vient de faire deux orphelins de plus. Dans 95% des cas, on ne prend même pas la peine de vérifier la véracité des dires de l'accusatrice.

Peut-être, monsieur le ministre, que vous ne comprenez pas l'importance du rôle du père ? Des années de politique vous ont sûrement éloigné de vos enfants trop souvent. Votre femme et les éducatrices ont fait tout le boulot ? Dommage.

Mais rassurez-vous, aux prochaines élections, nous, les nombreux pères présents et attentifs au bien-être de leurs enfants, on va vous en donner du temps.

En attendant, Hermil Lebel est privé de ses enfants. Peut-être attendez-vous qu'il se suicide en commettant un geste désespéré ? Ça vous permettrait d'investir un peu plus dans les programmes contre la violence.

Vous oubliez que la violence naît pratiquement toujours de l'injustice, monsieur le ministre de... de... je ne sais plus quoi.


Serge Ferrand, Montréal

cc: Médias du Québec


Lettre ouverte au ministre de la justice : Paul Bégin

3 mai 2002

Ministère de la Justice


Monsieur,


Il y a en ce moment un père, Hermil Lebel, qui est en prison.

Il a téléphoné à ses enfants.

Je trouve qu'envoyer quelqu'un en prison pour un coup de téléphone est une grave injustice qui s'ajoute à toutes les autres injustices dont sont victimes les pères Québecois en cas de conflit avec leur conjointes.

Je mets à la place de cet homme trompé par un système judiciaire sexiste et c'est suffisant pour me dégoûter, comme j'en suis sûr bien d'autres hommes, de tenter l'expérience de la paternité.

Qu'on ne soit pas surpris que les hommes soient moins tentés d'avoir des enfants que les femmes.

Qu'on ne soit pas surpris d'une dénatalité galopante.

Qu'on ne soit pas surpris qu'un homme, vidé de tout espoir de justice, en vienne à contribuer aux statistiques alarmantes sur le suicide au masculin.

Jim Bovey, Montréal.


Ministre de la justice

M. Paul Bégin

ca fait maintenant prèr de 2 mois que je n'ai vu mes enfants, pourtant il ne sont qua 6 km de chez moi. je suis sépsrer depuis maintenant 5 ans et tranquillement mon ex m'a enlever mes enfants un par un, j'en ai trois deux belle filles et un garcon et je les chéris plus que tout au monde.

Mais il ya l'EX qui a tous les droits et nous rien, meme pas le droit d'en prendre soins lorsqu'ils sont malade car elle nous mets pas au courrant et instruit mes enfants en leurs disant que si il sont dans la merde c'est a cause de moi, elle n'y est pour rien, nous vivions pourtant a deux et les décision se prenais a deux et depuis notre séparation elle leurs a apris que la seul responsable envers eux c'est elle et que ca ne me concerne plus elle a pousser l'audace a le dire devant eux " ce n'est plus de tes affaire, tu est parti " et lorsque j'appliquais le jugement de divorce en ce qui concerne la garde mes enfants venais avec presque pas de vetement et pas le droit d'ammener quoi que ce soit. J'ai donc du investir dans les vetement et les jouets en plus de payer une grasse pension pour enfants en plus d'une pension pour elle et en retour il ne me reste plus rien car avec sa doctrine plus un enfant ne m'appel ou viens chez moi.

Je comprend pourquoi de père perde le controle de leurs acte car la femme ont toute liberté de dire ou faire ce qu'elle veux, de baffouer des jugements de mentir a la police et de créer l'illusion que leurs père est un pourri de la pire espèce et que seul elle peu les comprendre et en prendre soin, et dans bien des cas leurs seul revenu est la pension du père, souvent plus que la moitié du salaire net du père.

Pourquoi ne pas obliger la mère a prendre le marché du travail afin de décharger la responsabilité monétaire du père et par ce fait créer une vrai équité parentale, on devrais obliger la mere en santé et pas trop vieille de prendre le marché du travaille dans un delai résonable, soit 2 ans de séparation afin quelle puisse prendre un vie saine et normal, non a attendre un chèque par la poste comme les bien-etres font, mais a travaillé et les père pourrais prendre un role plus normal.

J'espère M. le ministre que cette lettre vous fera comprendre que des femmes abuse d'une situation de rupture et qui rend les hommes comme des guenilles a mettre a la poubelles, car elle ont le pouvoir envers nos enfant et nous nous ne somme plus rien.

Je comprend qu'il ya des couples qui vont très bien après la séparation, mais il doit y avoir des changement pour aider les hommes a continuer de prendre soin de leurs enfant au meme titre que leurs mère.

Pauvre pere qu'est ce M, hermil Lebel, emprisonner pour avoir fait l'effort de voir et de soccuper de ses enfant. S.V.P. aider le dans cette situation tres déplorable.

Merci de lire cette lettre attentivement et j'espère qu'il y auras dans un avenir proche des changement au loi du divorce et de la garde des enfants.

Donald Jean
Jonquière


(Val d'Or), jeudi, 2 mai 2002

MINISTÈRE DE LA JUSTICE
M. PAUL BÉGIN, Ministre de la Justice
1200, route de l'Église, 9e étage
Sainte-Foy (Québec) G1V 4M1
Téléphone : (418) 643-4210
Télécopieur : (418) 646-0027

SUJET : Détention de Monsieur Hermil Lebel


Monsieur,

Solidaire de mes confrères et amis de l'Après-Rupture, je sollicite votre intervention afin que Monsieur Lebel soit remis en liberté afin que ses Enfants puisent a nouveau avoir des contacts seins avec leur père en conformité avec les Droits des Enfants et la Charte des Droits et Liberté en vigueur dans ce Pays.

Je vous rappel que cette façon de privé les Enfants de leur père a l'aide d'accusations futiles et vexatoires. Je vous le souligne dans mon dossier depuis plusieurs mois et réclame votre intervention sans succès (Réf.: N/d :13841.1).

En référence a ce qui précède, je vous rappel ou vous souligne que dans mon dossier impliquant les Centres jeunesse DPJ, ses derniers ont annuler un contact père/enfant supervisé sous prétexte que j'avais "demander" a ce que la grand-mère paternelle soit présente a la rencontre ! Ce contact père/enfant fut annuler bêtement et malicieusement alors que nous avions fait plus de 700klm ! Pour ne nommer que cet incident.

Vous savez pertinemment de quoi je parle Monsieur le ministre et je vous rappel que seul, sans avocat, je suis parvenu a faire la preuve des fausses accusations qui était porté contre moi devant la chambre de la jeunesse. Je vous rappel que malgré les distances qui me sépare de mon enfant, j'ai maintenant une garde partager de trois semaines chez la mère, deux semaines avec son père le soussigné. Pourtant, malgré les nombreuses missives que je vous adresse réclamant un procès contre mes agresseurs en conformité avec la Loi, vous refusez de donner suite a mes demandes.

Je vous rappel que, mes agresseurs exploitants le DPJ & als ont fait l'objet d'enquêtes de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse CDPDJ, et ce, en Abitibi- Témiscamingue en octobre 2001 ainsi qu'en Mauricie plus récemment. Le tout, la CDPDJ blâmant sévèrement les Centres jeunesse cité précédemment. Pourtant, encore une fois, malgré la preuve incriminante (que je détient) pour le DPJ, le Procureur général, vous en l'occurrence refuser d'intenté les procès qui s'impose afin que soit jugé les coupables en conformité avec la Loi.

Je vous rappel que par ces façons de faire, "il n'y a pas apparence de justice", condition essentiel pour que les contribuables est minimalement confiance en la Justice.

De tout les points soulever, force est de constater qu'un refus d'intervention du Procureur général, afin que soit remis en liberté Monsieur Hermil Lebel sujet des présentes, n'aurai pour seul et unique résultat de miner d'avantage la confiance de la population dans le système judiciaire québécois.

Respectueusement soumis,

Jacques*, père/enfants, victimes d'exploitation et de mauvais traitements

*alias pour la protection des Enfants


Lettre d'Hermil Lebel

28 avril 2002

Je suis un père «tardif», ayant préféré accumuler du vécu avant de procréer à l'âge de 40 ans. J'ai deux enfants lumineux de 3 et 7 ans que j'aime de tout mon coeur mais dont l'état Québécois me prive depuis maintenant plus de 7 mois en raison des politiques scandaleuses, illégales et sexistes d'intervention en matière de violence conjugale. Ces pratiques illégales et criminelles bafouent allègrement le droit des pères, contrevenant en celà à la Chartre Canadienne de Droits et Liberté et aux accords de l'ONU concernant le droit des enfants, accords néanmoins ratifiée par le Canada.

Notre système judiciaire, policier et de protection de la jeunesse ont véritablement capitulé devant le lobby d'une véritable mafia féministe, et ont contribué à réduire les hommes, et tout particulièrement les pères, au rang de criminels potentiels, privés de droits et de liberté, dès qu'une conjointe malveillante ou dérangée mentalement prend le téléphone pour porter de fausses allégations à l'égard du géniteur, malgré les contradictions notées dans les rapports complémentaires de polices rédigés après le dépôt de la plainte.

Dans mon cas par exemple, le Juge a même refusé catégoriquement d'entendre un témoin qui venait contredire les fabulations de la plaignante. C'est ainsi que, dans notre société, les familles sont disloquées, les enfants victimes de violence affective et de mères souffrant de troubles de personnalité pendant que les pères se trouvent réduits au rôle de simple pourvoyeur, se faisant allégrement déposséder de leurs biens, de leurs salaires et surtout de leur liberté et de leurs enfants, sans que jamais la véracité des allégations mensongères ne soit vérifiée de quelque façon que ce soit. (Suggestion de lecture: Coupable d'être un homme, Georges Dupuy, VLB éditeur, 2000). Pour en savoir davantage sur ce système proprement stalinien et scandaleux imposé aux hommes au Québec, mais également un peu partout en occident où le mouvement féministe intégriste a pris racine, je vous suggère de visiter les sites suivants: www.lapresrupture.qc.ca et www.coalitiondeshommes.org .

Ce dernier site présente notamment une lettre adressée à la Ministre de la Justice de l'époque, Mme Lynda Goupil, lui demandant la tenue d'une enquête publique pour faire la lumière sur le fléau des fausses accusations en matière de violence conjugale. Mme Goupil est membre du Barreau et, ayant pratiquée en droit familial, connaît particulièrement bien la problématique en raison de son expérience en la matière. La réponse qui fut donnée pour justifier le refus de tenir une telle enquête est un véritable tissus de mensonges grossiers d'une lâcheté inqualifiable.

Les gens de l'après-rupture dont je suis membre sont évidemment disponibles pour venir témoigner, avec toute la documentation à l'appui, afin que ce scandale soit dénoncé sur la place publique. Les pères sont les victimes silencieuses de ce système scandaleux du simple fait d'être des hommes. Devant l'inaction des tribunaux qui refusent de sanctionner les mères coupables de méfaits publics et des forces de la paix qui interviennent illégalement en toute impunité, les pères se suicident et la galerie se félicite de la qualité de nos institution!

 

Contacts, Fathers-4-Justice Canada


Coordinateurs locaux et porte-paroles


Responsables


Dons Jean Julien
514 865-0030

Webmestre Benoit Leroux
514 475-3232






10/02/2011
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